1. masturbations


    Datte: 28/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Masturbation Inceste / Tabou

    ... âge, mis bas plusieurs fois.Etalons de bals populaires, père ivre, frères et cousins aventureux, curés défroqués, instituteurs zélés, autant de prédateurs pour cette pauvre fille dont la débilité est à la mesure de son cul.Evidement en rêve rien n'empêche de la fourrer par tous les orifices, gouter la morsure de ces chicots déchaussées et lui titiller la mycose en fleuretant avec l'idée d'en ressortir un vit bubonique auquel un restant de fausse couche s'y serait cramponné.Ô les rêves sont tellement gratuits qu'on finira par les taxés.Tableau VAu long d'une lente divagation, j'avais réussit à acculé une pauvre gueuze dans un recoin sadique de mon esprit, La pauvre tremblait, nue, coincée comme mise en bondage par mes fantasmes.Son corps presque rachitique n'était la que pour mettre en valeur une brune toison luxuriante.Tout son être ne se résumait plus qu’à être du poil, un masque velu hypnotique, catalyseur de regards qui annihilait par son attraction la chose même qu'il dissimulait.Le poil rongeait son ventre, brouillait ses cuisses, ravageait mon regard pour y graver à l'eau forte cette touffe entité érotique à part entière.Cette femme n'est qu'une fourrure, une chatte angora à dépecer et à tanner pour en faire un postiche aux femmes imberbes ou trop jeunes pour porter de telle toison.A imaginer ces greffes monstrueuses mon désir devient brulant, mon désir est une flamme et ce sont alors des braises que mon sexe crache sur cette image licencieuse.Alors comme une savane, ...
    ... la motte s'embrase. Une fumée noire flotte et prend un instant la place de ce qui vient de se consumer.Les volutes s'effacent, laissant derrière elles un vide absolu, le réel.Tableau VIIl m'est rarement arrivé de trouver des mains plus expérimentée que les miennes à l'exercice de la branlette. Les putes, d'une froideur trop professionnelles et ne font qu'énerver de leurs mains calleuses mon vît alors blasé. Les autres hommes, vous branlent comme s'ils se branlaient eux même, avec leur mains moulés à l'emprunte de leur propre queue. Les épouses vous branlent avec détachement dans l'usure du devoir conjugal. La concierge me la malmène en pensant se venger de celle de son mari qui ne jamais plus ne se lève. Les soubrettes vous l'époussètent, pleine d'une ennuyante révérence à leur patron. Les vieilles filles vous la serrent comme si elles s'accrochaient à la dernière bite de leur triste existence, un prélude au dernier sacrement. Les enfants de chœur ont les doigts trop potelés et les verrues qu'ils y ont des abbés me poussent à les fuir. Les bonnes sœurs vous égrènent les testicules et s'accrochent extatiques au phallus comme pour un sacrement.Les communiantes elles enfin, ont la primeur originelle de saisir la subite révélation d'un objet jusqu'alors inconnu mais pourtant désiré dans l'invisible. Rodée à manier la chandelle et le cierge, elles vous manipulent l'engin, plein d'une dévotion touchante, jusqu'à en voir jaillir un nectar d'inconnu balafrant leur premier et dernier ...
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