1. masturbations


    Datte: 28/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Masturbation Inceste / Tabou

    ... vrai sourire.Tableau VIIJ'ai parmi mes amis un anthropologue spécialisé dans les dernières tribus d'affriquée noire. Lorsque je lui rends visite nous avons instaurés comme rituel, une étrange séance de psychanalyse, ou celui qui est allongé, moi, sur le sofa colonial se masturbe tandis que celui qui parle, mon ami, relate diverses coutumes exotiques, fruits de recherches scientifiques.Aujourd'hui, alors que je me défroque sur le cannage rêche et sous le regard sorcier des masques exposés aux murs, il m'annonce qu'il va m'exposer l'histoire d'une tribu méconnue, les Kimbandas, qu'il a eut le privilège d'observer le fonctionnement dans sa jeunesse.Cette dernière avait pour particularité, me dit-il, de n'être strictement composé que d'hommes. Aucune femme n'était admise dans leur rang et le problème de la reproduction était réglé par un rapt régulier de jeunes adolescents dans les tribus voisines. Aucun de ces hommes n'avait jamais foutu en con une femelle, et pour cause l'idée même les répugnaient autant que de culbuter la charogne d'une hyène.Ces hommes n'avaient évidement pas fait vœu de chasteté et c'est dans une pratique sociale et ritualisé de la sodomie que leur sexualité s'épanouissait.La notion de couple n'existait pas et l'acte sexuel se perpétrait quotidiennement en communauté avant l'instant du repas.La hiérarchie s'instaurait naturellement par l'âge, le plus âgé sodomisant le plus jeune, ainsi fait le doyen de la tribu était condamné à n'être plus jamais sodomisé ...
    ... et il recevait en contrepartie le statut de grand sorcier. Les plus jeunes étaient enculés par toute la tribu et devaient attendre l'arrivée de nouveaux adolescents plus jeunes pour à leur tour pouvoir faire usage de leur verge.A cette occasion, un rituel de passage dans l'âge adulte nécessitait divers actes de modifications corporelles. Leur verge à l'aide d'un silex était alors finement scarifiée de motifs tribaux, de longues lignes ondulantes, perlant de sang, couraient ainsi du pubis jusqu'a la base du gland. Ce dernier était de même cruellement entaillé de symboles magiques.La verge devait rester en érection tout du long de la douloureuse cérémonie.Dans le cas contraire, l'adolescent, jugé indigne et impropre à foutre, était castré sur l'instant, le vieux chef cautérisait la plaie d'un charbon ardent, puis mangeait l'organe.Le pauvre mutilé était alors rejeté dans sa tribu d'origine, ou sans statut, interdit de chasse car privé de verge, il restait oisif, tel un kitesha castré, avec les femmes dont bien souvent il se retrouvait spectateur impuissant de leur jeux érotiques.Échaudé par ce récit, une fièvre commençait à faire perler la sueur à mon front. Voyant mon bras s'activer convulsivement, mon ami érudit, à la vu de ces signes annonçant l'apothéose, repris son récit sur le ton nouveau de la confidence.Sa voix alors, muée en un timbre feutré, me relata les expériences, dépassant le cadre de l'observation scientifique et distance, qu'il avait eut avec cette tribu.Alors à ...
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