Séverine, directrice et esclave. (5)
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Suite : Nous arpentons les rues de la ville et croisons à deux reprises des clochards que Robert ne connaissait pas. Je l’ai alors senti plus gêné au moment de leur proposer mes services. Ivres, ils n’ont d’ailleurs guère compris les sous-entendus de Robert et se sont contentés de me demander à voir mes seins. Ils m’ont donc simplement reluqué et malaxé les seins sans que cela n’aille plus loin, ce qui m’arrangeait vu que nous étions au milieu de la rue. Malgré ma discrétion pour sortir ma grosse poitrine de ma chemise, j’ai eu droit à quelques regards choqués de la part des passants et nous avons dû ensuite changer de rue afin de nous faire oublier du voisinage. A l’écart d’une rue un peu moins passante, nous rencontrons un autre SDF installé dans une impasse. Il s’était constitué un petit abri de cartons et de palettes et semblait avoir fait de ce coin discret son repère. Robert lui donne de l’argent puis lui tient le même discours qu’aux autres sdf croisés aujourd’hui. Je vois alors immédiatement dans le regard du clochard qu’il comprend très bien de quoi son riche bienfaiteur lui parle et me déshabille déjà des yeux. Après avoir glissé l’argent de Robert dans sa poche, il s’approche de moi et me dit : — Alors comme ça, tu es prête à assouvir mes moindres désirs ? — C’est tout à fait cela, lui répondis-je en essayant de paraitre la plus sûre de moi possible. — Voyons cela, poupée… Commence par te déshabiller. — Oui, monsieur… Avec le mince espoir que cette expérience ...
... sera aussi rapide et aussi peu « pénétrante » que les dernières, j’ouvre mon chemisier, baisse ma minijupe et me retrouve en sous vêtement devant le sdf. Celui-ci me regarde avec des yeux bien salaces et me fait signe de continuer. Mon soutien-gorge en dentelles tombe alors puis c’est au tour de mon string de glisser le long de mes jambes. Je suis donc entièrement nue dans cette impasse, certes sordide et peu fréquentée mais au coin d’une rue passante. J’entends d’ailleurs derrière moi le brouhaha de la ville alors que le sdf se rapproche encore de moi, pose une main sur un de mes seins et me dit : — Tu te désapes devant un clodo en pleine rue sans rien dire… Et bien, soit tu es vraiment l’esclave de Robert, soit tu es la pire des salopes ! — C’est un peu des deux, monsieur, lui répondis-je alors avec un sourire provocateur qui masquait à peine ma crainte de ce qui allait suivre. — Alors je ne vais pas te décevoir, salope… A genoux ! A peine ais-je le temps de me mettre à genoux devant lui qu’il sort sa vieille queue dégoutante et me la colle dans la bouche. Elle pue horriblement la pisse et la sueur et est à peine dure. Il la rentre donc sans aucune peine dans ma bouche, si bien que mon nez est plongé dans ses poils pubiens crasseux, collant de sueurs. Elle était loin la timidité ou l’incrédulité des premiers SDF rencontrés… Petit à petit, son sexe se durcit et je peux enfin tenter de le sucer normalement sans être frottée à ses poils. Je salive et crache énormément pour, en ...