1. Séverine, directrice et esclave. (5)


    Datte: 07/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... quelque sorte, laver sa bite et faire partir cette odeur et ce gout horribles. Son sexe est à présent bien dur, bien que toujours assez petit, et je sens déjà des gouttes de liquide séminale suinter de son gland. Mais alors que je pensais qu’il allait jouir dans ma bouche, il se retire, me prend par les cheveux et me fait mettre à quatre pattes sur un carton lui servant de « plancher ». Il enfourne sa tête entre mes fesses et commence à me dévorer la chatte, me mordant parfois les lèvres. Il me lèche aussi avec envie l’anus puis, enfin, se redresse pour me pénétrer. Je dis « enfin » car bien que j’adore les cunnilingus, celui-ci n’était absolument pas agréable. Sa barbe broussailleuse et son attitude violente rendait cet acte particulièrement pénible. C’est donc presque avec soulagement que je sens son petit sexe ma pénétrer. Il s’agrippe à mes fesses et tape fort dans ma chatte. A chaque coup de boutoir, ma tête s’enfonce un peu plus dans sa cabane de cartons, m’infligeant ainsi un cocktail d’odeurs particulièrement nauséabond. J’ai aussi droit à un flot ininterrompu d’insultes auxquelles je réponds par une absence totale de gémissements ou autre signes de plaisirs. Enfin, dans un ultime coup de hanche, le sdf se vide en moi, se souciant peu de savoir si j’étais d’accord pour me faire remplir le vagin de son sperme. Il me met une bonne claque sur les fesses en guise de félicitation et se relève. Moi-même je me hâte de me redresser pour me rhabiller mais je passe d’abord par ...
    ... une position accroupie pour que le foutre du clochard sorte de moi. Aucune envie alors d’en récupérer pour y gouter. Pour une amatrice de sperme comme moi, c’est vous dire si, à ce moment, j’étais complètement dégoutée. Je récupère ensuite mes habits, les enfiles puis sort de l’impasse sans dire un mot au clochard. Celui-ci, amusé par mon attitude, me lance alors : — Haha, tu ne dois pas être une si bonne salope que ça si tu es choquée par ce que je viens de te faire ! Je lui aurais bien répondu que, si je le veux, je peux être la plus grande des salopes… Mais hors de question de rentrer dans son jeu. Je presse donc Robert pour que nous repartions au plus vite. — J’espère que vous avez été ravi du spectacle, Président, lui dis-je, encore en colère. — Sachez, Séverine, que je préfère nettement lorsque vous éprouvez également du plaisir. — Alors rentrons et laissez-moi me masturber devant vous ! Ce sera plus simple pour tout le monde… — Voire trop simple… Allez, plus que 40 minutes de soumission pour cette semaine. François, amenez-nous au PMU de la rue Jean Moulin. J’y ai deux bons amis, joueurs de musique. Nous arrivons donc devant ce bar pas très frais, voire carrément délabré et rencontrons deux hommes en train de jouer de la musique pour quelques piécettes. L’un joue de la guitare et l’autre de l’accordéon et tous d’eux chantent péniblement des classiques de la variété française. Il n’y a qu’un type, apparemment ivre, sur une table en terrasse pour les écouter, tandis qu’à ...