1. Séverine, directrice et esclave. (5)


    Datte: 07/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’intérieur, le patron regarde la télé depuis son comptoir. En nous voyant arriver, les deux hommes s’arrêtent de jouer et viennent saluer Robert. Nous nous essayons à une table à l’intérieur et Robert commande 2 Picons pour ses amis artistes. La conversation s’engage alors de manière plaisante et je comprends que les deux hommes sont sdf surtout par choix, par rejet de la société. Une deuxième tournée est commandée et, enfin, Robert en vient à expliquer ma présence. Robert ne prend même pas la peine de parler à voix basse pour expliquer ce que j’ai à proposer, si bien que le patron, qui me reluquait déjà les jambes depuis mon arrivée, me sourit à présent vulgairement. Les deux hommes, eux, montrent plus de respect et complimentent surtout mon corps. L’idée de les satisfaire ne met déplait pas mais je me sens affreusement sale et j’interviens donc dans la discussion en chuchotant : — Messieurs, pour votre confort comme pour le mien, je vais devoir aller aux toilettes avant toute chose… Veuillez m’excuser. Et sans leur laisser le choix, je me lève et me dirige vers les toilettes. Le patron me lance alors : — C’est pas la peine d’aller au coin des dames, ma jolie, c’est hors service depuis un moment. Et vu le nombre de gonzesses qui viennent ici, c’est pas prêt de changer ! Allez chez les messieurs, vous ne serez pas dérangée, c’est désert aujourd’hui. Je lui fais un sourire de remerciement mais suis dégoutée d’avance de devoir me laver au milieu de pissotières. J’entre ...
    ... pourtant dans la petite pièce et allume le robinet de l’évier. Au moment où je commençais à soulever ma jupe pour me laver le sexe, la porte des toilettes s’ouvre, laissant entrer les deux sdf, suivis de Robert. Alors que je m’apprête à les virer de là, l’un des musiciens me dit : — Désolé, Séverine, mais toute cette bière, ça donne envie de pisser, vous comprenez ? — Bon, je vous laisse, alors, dis-je en me dirigeant vers la sortie. — Attendez, me dit alors l’autre en bloquant la porte, Robert nous a dit que vous aviez passé un mauvais moment tout à l’heure et que vous aviez besoin de vous nettoyer. — Oui…. C’est vrai… — Alors venez par-là, on va s’en charger ! Sachant exactement ce qui m’attendait, je baisse la tête, dépitée et me laisse alors entrainer vers la seule cabine de toilette de la pièce. Ils me déshabillent entièrement puis me font m’assoir sur le siège, jambes écartées. Ils me demandent de prendre mes jambes pour les relever encore, offrant ainsi totalement ma chatte. Puis, l’un deux enfonce deux doigts en moi, fouille un peu et commente : — Effectivement, c’est poisseux, la dedans ! Allez, on va vous faire une toilette ! Il retire alors ses doigts, ouvre son pantalon, sort son sexe déjà un peu durcit et, sans hésiter, commence à me pisser dessus. Le flot est abondant mais assez peu odorant, du fait sans doute des 2 bières avalées rapidement. Le sdf promène son jet de pisse sur mon sexe, insistant sur mon vagin bien ouvert mais arrosant aussi mes cuisses et mon ventre. ...