1. Le promeneur (1)


    Datte: 31/07/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Je m’étais rendu dans ce parc magnifique, de nuit. On m’y avait assuré que l’on pouvait y faire de belle rencontre pour agrémenter mes nuits. Sur ce banc, sous ce saule pleureur, j’étais un peu à l’abri des regards. Ce ne fut pas long à attendre, une femme, petite, la taille fine, les formes des plus avantageuses et à la chevelure long aux couleurs de l’automne s’installait à une dizaine de mettre, sur ce banc placé à l’intersection de quatre chemins. Elle se mit bien au milieu du banc, posant ses fesses superbes tout juste sur le rebord du banc. Elle joint soigneusement ses pieds, croisa ses bras dans son dos et ne bougea plus. J’avoue que j’étais sous le charme de la demoiselle et plus encore. Tout au plus, elle devait à voir dans les vingt-cinq ans, mon âge approximativement. Je ne la perdais pas de vue quand un groupe de femme arriva, me passant devant sans me voir. Elles étaient toutes aussi belle les unes que les autres, dans la trentaine, guère de plus. Elles encerclèrent la jeune femme. Je ne voyais plus bien, ce groupe de femme me l’empêchait. Peu après, les femmes s’écartèrent du banc. Je vis la jeune femme dans une autre robe, blanche, beaucoup plus provocante, très courte, pour ne pas dire trop courte. À son cou, il y avait ce que je devinais comme un collier de cuir clair, peut-être blanc lui aussi, et une chaine moyennement longue y pendait ente ses seins jusque sur son ventre, son petit ventre. Je commençais à me faire une petite idée sur ces femmes au nombre ...
    ... de six maintenant. Une grande blonde prit la chaine et sans un mot, le groupe s’éloignait de moi, m’emportant ma belle petite rousse avec elles. Poussé par ma curiosité, je les suivais à distance. Je ne sais pas si la petite rousse me vit, mais elle jetait de petit regard en arrière tout en croisant ses bras dans son dos, en bonne soumise. En sortant du parc, dans une rue commerçante déserte, je sus qu’elle me vit, simplement en regardant dans une vitrine. Au détour de la rue suivante. Elle me fixa brièvement en me faisant un léger signe de la tête, comme si elle m’invitait à les suivre, ce que je fis. Plus loin, dans un petit square, on lui mit un bandeau sur ses yeux qu’elle devait avoir magnifique, du moins dans mon imagination qui allait toujours, débordante. On fit faire le tour de cette petite place, en la faisant changer de direction une multitude de fois. Devant une porte cochère, on l’embrassa, les cinq femmes l’embrassèrent et la jeune femme répondit à tous ces baisers. Enfin, elles disparurent par cette porte. Je me sentais, soudainement, bien seul. En jetant un œil à l’immeuble, je me trouvais un moyen de m’y glisser en tout discrétion. Je ne tardais pas à retrouver leur trace dans les caves. L’immeuble semblait calme, comme déserté de ses habitants. Au fond de ce long couloir, je pouvais entendre des gémissements. Discrètement, je jetais un œil. Je pus voir et admirer ma belle petite rousse entièrement nue, caressée par des mains à la fois douces et méchantes, ...
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