Le promeneur (1)
Datte: 31/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... m’embrasser divinement. Je répondais à son baiser tout aussi tendrement. Je croisais mes bras dans mon dos. On en profitait pour me mettre à nu. Je ne pouvais cacher mon émoi. La belle au crâne rasé caressait mes jambes, les enduisant déjà d’huile au parfum subtile. On positionna mes mains au-dessus de ma tête. J’étais prêt à tout pour autant leur être agréable que pour profiter de la vue de ces corps, surtout celui de ma mignonne petite rousse. On me fixa à une corde mes mains. Je n’étais plus qu’une marionnette entre leurs mains, une marionnette qui n’avait pas l’intention de les fuir. Une voix douce me demanda si j’aimais et pourquoi. J’expliquais que j’aimais la douceur et la grâce des gestes entre femme, des gestes doux et affectueux. Je précisais que très peu d’homme pouvait être capable d’autant de douceur et je n’en étais, à n’en pas douter, pas un. La rousse huilait mon torse, sa bouche sur la mienne. Je vis une bougie approcher de moi, je creusais mon dos pour mieux en ressentir ses effets sur moi. Maintenant, je savais ce que procurait la cire chaude. Quand cette femme au crâne lisse embrassait mon prépuce, j’éjaculais sur son visage tout entier avec un long hurlement de bonheur. Reprenant mes esprits, je les remerciais en allemand. Les filles léchaient mon sperme sur le visage de cette femme, elle en jouit avec une expression sublime de bonheur. On me délivra mes mains du plafond pour me coucher sur le dos. Ma petite rousse se posa sur ma bouche, je lapais, ...
... mordillais, de son sexe à son anus. Je me délectais de celle qui avait pris mon âme, maintenant mon cœur. Sur son dos, elle recevait de petits coups de martinet. Sur sa croupe, mes mains la fessaient avec amour. Léchant mes pieds, cette femme noiraude semblait heureuse, emplie d’un plaisir qui n’allait pas tarder à s’exprimer encore une fois. Maintenant, ce n’était plus qu’un méli-mélo de corps ne cherchant plus qu’à jouir. On me vidait en des orgasmes que je ne soupçonnais pas possible. J’appris de cette nuit merveilleuse que l’amour se conjuguait à tous les temps et en tout temps. Au petit jour, j’essayais de garder mes yeux ouvert. La petite rousse, comme ses compagnes et moi avait trop profité de ces plaisirs merveilleux. Elle était allongée près de moi, inerte, une main sur ma cuisse. Ouvrant péniblement un œil je vis que nous étions seuls, elle et moi. Je me rendis compte qu’elles auraient pu me torturer pour leur plaisir qu’elles ne l’avait fait que pour mon plaisir. Sur mes fesses, je portais encore les marques de ce martinet aux fines lanières de cuir rouge. Le pire de tout c’est que j’avais aimé pour na pas dire pris mon pied. En sortant de cette cave, je reconnus le quartier. Il m’avait vu faire mes premiers pas. Dans la cave, un cornet remplit de croissants encore tièdes, je ne trouvais plus ma petite rousse. Même plus les accessoires, tout avaient disparu. Un peu tristement, je rentrais chez moi en mangeant mes croissants, tout seul. Sous la douche, je me remémorais ...