Le promeneur (1)
Datte: 31/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... mais pas trop. La belle rousse semblait être au centre d’un scénario saphique bien rodé. Je me suis trouvé une petite place d’où je pouvais tout voir, même les yeux de cette jeune femme sublime, des yeux couleur amande. Oh les autres n’avaient rien à lui envier, sauf que ma préférence allait vers cette petite rousse à la très longue chevelure. Les unes après les autres, caressant le corps maintenant entravé de leur suppliciées, pinçaient, mordillaient ou léchaient ce corps. Tout était très lent, aucune violence excessive, que des gestes savoureux, gracieux. Les mains huilaient ce frêle corps. Elle se laissait faire, gémissent des douces attentions qu’on lui prodiguait. Il y avait une chaise avec en son sommet deux espèces de bras, comme sur une croix. Symboliquement, on lui fixa ses bras si fins. Sur sa droite, une des femmes, aiguisait un rasoir de barbier sur longue bande de cuir. Ses bras écartelés, elle subit la crème à raser sur tout son corps. Les mains étalaient la crème tel un ballet, toujours gracieux. S’en était presque émouvant car, il me faut le reconnaitre, je me sentais incapable d’être aussi doux et tendre dans mes gestes avec une femme, aussi douce soit-elle. Enfin, les rasoirs vinrent retirer cette crème. Là encore, c’était sublime de les voir agir. La jeune rousse était au bord de l’orgasme quand elle me fixa longuement. Damned, J’étais découvert. Sa bouche semblait me demander de ne pas partir, de ne pas bouger de ma place, ce que je fis. Il me sembla ...
... même qu’elle m’adressait un mignon petit sourire. Je crois même lui avoir envoyé un baiser de ma main. Son corps était léché, embrassé après le passage des rasoirs. Je sentais qu’elle allait jouir et ce fut le cas quand une bouche aimante vint se poser sur sa vulve. Elle devint encore plus sublime dans l’orgasme. Là, ses yeux n’étaient plus que pour moi, tout à moi, j’en étais sans-dessus-dessous. Mais je ne pouvais remuer, même pas le petit doigt sans ne pas me faire voir de ses complices. Puis, le corps fraichement rasé, on plaqua son merveilleux visage sur la vulve d’un des deux grandes blondes, la plus majestueuse, la plus pulpeuse. Pour bien me prouver qu’elle avait connaissance de ma présence, elle fit pivoter cette grande blonde magnifique avant de plonger son visage d’ange entre ses cuisses. Sur la plante de ses pieds nus, elle recevait de petits coups de cravache. D’instinct, elle croisait ses bras dans son dos en signe de soumission. Derrière elle, la noiraude était sur cette chaise, pieds et bras largement écartés subissant l’épreuve du rasage intégrale. Les gestes étaient toujours aussi tendres et précis que gracieux. J’aurais payé de ma vie pour être le visage sur son sexe brillant de sa liqueur d’amour et la faire jouir sans fin. Mais un geste de moi et tout était à l’eau. J’étais prisonnier de ma curiosité, impassible témoin de femmes jouissant les unes des autres. Ma rousse retira son visage de cette vulve en gardant sa bouche ouverte. Soudain, un jet d’urine ...