Le promeneur (1)
Datte: 31/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... cette nuit saphique, les plaisirs que j’avais vu naitre chez ces femmes merveilleuses. Mon cœur allait à cette rousse, il me serait très difficile de l’oublier à l’avenir. Au fil des jours qui suivirent, je me rendis souvent, le soir sur ce banc, tous les soirs exactement. Plus le temps avançait, s’écoulait, plus j’espaçais mes visites sur ce banc. Parfois, il me semblait qu’elle venait chez moi durant la nuit. Quel con je fais, aucune n’avait pas mon adresse. Mon désespoir dura près d’un an. Une année pendant laquelle je spéculais sur sa vie et celle de ses amies et complices. Pendant un an, je ne faisais que survivre, n’ayant plus le cœur à rien. Un matin, ma voiture légèrement en travers sur ma place de parc privée, une policière me collait une amende. Je voulus l’apostropher, j’en tombais sur le sol, sans connaissance. En ouvrant mes yeux, j’étais dans ma voiture, côté passager et cette fliquette au volant. — Plus d’un an que je te cherche et tu tombes dans le pomme. — Un an que je reviens sur ce banc dans l’espoir de te voir, rien que te voir. Nous n’utilisons jamais deux fois le même lieu de rendez-vous, jamais. C’est où chez toi ? — Heu, on est où ? oh, faut faire demi-tour, c’était là où se trouvait ma voiture, l’immeuble en face. Elle éclatait de rire, pas un de ces rires sonore, pas vulgaire, non, un rire léger comme une plume, un rire à son image, emplit douceur et de grâce. Quand je lui explique qu’elle voulait me coller sur ma place de parc privée, elle ...
... resta stupéfaite, peinant à me croire. Dans ma rue, elle s’arrêtait à une dizaine de mètre de ma place de parking. — Approche, le socle va s’abaisser quand il reconnaitra ma voiture. Voilà et si quelqu’un veut me la prendre pendant la manœuvre, tu t’éloignes et sa voiture sera soulevée du sol. — Pas mal. C’est déjà arrivé qu’un autre te pique la place ? — Plus d’une fois. Parfait, tu es en plein dedans, mieux que moi hier soir. De sa ceinture de policière, elle se sait d’un petit émetteur-récepteur, elle annonçait à ses complices qu’elle avait trouvé le nid. Puis, toujours avec son appareil, elle fit une recherche de propriétaire en prenant la voiture de mon voisin pour donner l’adresse du dit nid. Quelques minutes plus tard, dans mon appartement, j’avais ces six femmes les plus merveilleuses du monde autour de moi. Je ne sais pourquoi, je me sentais comme dans cette cave, complètement subjugué par leur présence, incapable du moindre mot, du moindre geste. C’est comme si j’étais dans ma cachette dans cette cave. Si elles étaient en civil, elles étaient toutes membres des forces de l’ordre de la ville, comme ma petite rousse. Soudain, je la vis devenir toute timide sans que je n’en connaisse la raison. C’est la grande blonde sculpturale, grande prêtresse du groupe, Martine qui m’annonçait la couleur. — Ça te plairait de nous rejoindre ? — Comment ça, dans vos sorties saphiques ? — Oui, Catherine, notre petite soumise a émis le désir, après cette nuit dans la cave, que tu nous ...