1. Lorsque l'amour s'échappe du rêve


    Datte: 08/10/2017, Catégories: fh, hplusag, autostop, amour, odeurs, pied, Oral

    ... pour t’admirer. Ton corps est magnifique. Il ne se défile pas. Il exprime ton ressenti sans fausse pudeur. Il a ta franchise. Je t’aime… Elle m’attire alors à elle et m’embrasse dans un long soupir avant de m’enlever ma chemise, puis de m’ôter mon pantalon. — Désolée, mais là tu m’as mise à feu ; alors je déballe au plus vite.— T’as bien raison : ça t’évitera de voir l’état de la vieille branche !— Vieille branche ? Je n’en suis pas si sûre… Il me semble voir aussi du bois bien vert, dit-elle en posant sa main sur mes bourses pour une caresse d’une infinie douceur alors que ses lèvres font connaissance avec ma verge douloureusement tendue par un désir d’une rare intensité. Lorsqu’elle sort sa langue, la pointant tout au sommet de mon gland à peine découvert, je reçois comme une décharge. C’est délicieux ! Elle est délicieuse ! — Tu es une véritable experte ; tes lèvres, ta langue sont d’une douceur…— Arrête, je ne suis en rien une experte ; je ne le fais quasiment jamais, en règle générale : je n’aime pas cette caresse avilissante pour la femme. Bien que…— Alors ne le fais pas. Pour toute réponse, elle me pousse sur le lit, vient se mettre à califourchon sur moi et replonge sa tête entre mes cuisses, se caressant le visage avec ma verge tout en me la couvrant de baisers et de petits coups de langue. Puis elle me la gobe jusqu’au plus profond de sa gorge, nous procurant des sensations divines. J’entends ses longues et profondes respirations, comme si elle me humait elle ...
    ... aussi. Car de mon côté, mes narines elles aussi sont à la fête : je hume, je goûte, à moins que je ne m’y abreuve. J’ai l’impression de me shooter au nectar intime de ma Corinne. Elle me rend fou ! Je lui caresse ses deux magnifiques rondeurs, les lui écartant pour permettre à ma langue de mieux l’explorer, lui titiller son petit bourgeon tout tendu, à mes lèvres de mieux aspirer ses petites dentelles, de venir du bout de ma langue les séparer pour atteindre la source et ainsi mieux m’en délecter. Elle semble apprécier, vu la biguine qu’elle me danse sur le visage depuis de longues minutes. Je me rends compte qu’à ce rythme je ne vais plus tenir longtemps ; tous mes sens semblent exclusivement dédiés au plaisir. Je n’en peux plus et je n’ai aucune envie d’arriver au bout de mon plaisir tout de suite. Alors, après un dernier assaut de ma langue, je me libère et viens l’embrasser. Nous nous dévorons littéralement. Ce désir de l’autre, il est évident qu’il était refoulé depuis longtemps. Aussi, aujourd’hui nous devons compenser, et toutes nos sensations semblent décuplées. Je suis pleinement conscient de ce fait, du côté unique de cet instant dont il me faut profiter et graver en moi chacune des sensations. Il ne reste plus que l’ultime découverte, celle que nous attendions mais n’osions pas. J’ai bien un paquet de capotes dans la table de nuit, mais je n’ai pas envie de gâcher cet instant : j’aime trop le contact des peaux, l’échange d‘énergie qui te donne la sensation de circuler ...