1. Mon premier poste


    Datte: 31/07/2020, Catégories: hh, Collègues / Travail hdomine, Oral hsodo,

    ... âcre de mon sperme. La pression de ses mains sur mes épaules ne me laisse aucun doute, je dois lui rendre ce qu’il m’a donné. Jamais ma bouche ne sera assez grande pour contenir ce sexe aux proportions si importantes. Je porte mes premiers coups de langue sur le méat d’où perle déjà la liqueur amoureuse. Instinctivement, elle la lèche s’en sert pour lubrifier la bouche. Je me décide à franchir le pas. Le gland s’insinue dans ma bouche, j’écarte au maximum les lèvres. J’ai un peu mal aux articulations, mais comme par magie, le sexe s’introduit peu à peu, il frotte contre mon palais et le gland vient buter au fond de ma gorge. Je commence alors une longue et lente fellation. Malick me positionne de façon à pouvoir jouer avec ma rondelle. Ses doigts agiles en forcent l’entrée. Je ne ressens aucune douleur. Le plaisir monte, ma bouche et mon cul ne font plus qu’un, les ondes émises se concentrent dans mes reins. Malick lubrifie régulièrement ses doigts avec sa salive. C’est maintenant deux doigts qui glissent en moi pendant que la verge me pénètre la bouche de plus en plus loin, avec de plus en plus de force. Ce vit, je veux qu’il s’enfonce en moi. Je veux qu’il me remplisse. Je relève la tête et d’une voix plaintive, je demande à Malick de me prendre. — Tu le veux vraiment ?— Oui, s’il te plaît, dis-je en me mettant à quatre pattes mes fesses bien ouvertes. Malick sort de son sac un préservatif et une bouteille de lubrifiant. Après m’en avoir enduit largement la corolle et placé ...
    ... le préservatif, il s’enfonce doucement en moi. Quelles sensations extraordinaires ! Le bâton chaud se fraie sa route, surmontant les obstacles qui s’opposent à lui, mais aucune douleur. La bête s’arrête parfois et Malick la fait tourner comme pour élargir encore mon gouffre. Je sens soudain ses cuisses velues contre les miennes, les bourses généreuses frappant mes fesses. La bête semble vouloir ressortir, mais elle reprend aussitôt son avancée. Les va-et-vient de Malick sont de plus en plus prononcés, plus amples et plus rapides. Je ne peux que me concentrer sur les sensations qu’ils me procurent. Je feule, je ronronne, je crie en laissant mon sperme s’écraser sur le sol alors que je ne bande même pas. Les contractions qui s’ensuivent m’annoncent la jouissance de Malick. Il se retire brusquement, retire sa capote, se place dans ma bouche qui se remplit de son sperme. C’est bon, c’est chaud. Ma langue lèche le sexe qui s’amollit. Malick se penche et nos langues terminent l’émotion de nos corps. Au moment de nous rhabiller, Malick me tend un string féminin. Je l’enfile mais ne peut que constater que mes deux petites boules pendent de chaque côté. — Attends, je vais te donner un truc utilisé par les lutteurs de mon pays. Il baisse le string, sort un petit ruban de son sac, tirant sur la peau de mes bourses, il remonte lentement mes testicules dans mon ventre puis il attache la peau avec le ruban. Il n’y a plus que ma petite verge enfouie dans ma toison qui émerge. Il remonte le ...