Mon premier poste - Histoires de Sexe

Mon premier poste

... string. " Tu es ma petite femme, maintenant " me dit-il. Et il m’explique qu’après quelques jours d’exercices, je devrais pouvoir faire remonter mes testicules en me contractant et je n’aurai plus besoin de ce ruban. Il pose un doigt sur le tissu à l’endroit où se trouve mon petit gland…il le caresse et me dit doucement à l’oreille « un petit clitoris que beaucoup d’hommes voudraient toucher…Quant à l’inventaire ce sera pour plus tard.» De retour au bureau, on rencontre Xavier qui demande des nouvelles de l’inventaire, Malick lui répond : — On ne l’a pas fait, car Chris est tellement bandant qu’on a fait l’amour comme des dieux. Je ne sais plus où me mettre et je suis sûr de rougir… — Toujours le mot pour rire Malick, donc rien à signaler, tout est clair ?— Tout est clair, Xavier, et ce n’est pas pour le féliciter, mais Christian est maintenant au top. Encore deux à trois semaines et s’il continue ainsi, on pourra lui confier un portefeuille.— C’est une bonne nouvelle ça, Christian, je suis heureux d’entendre Malick parler de ...

... la sorte. Habituellement, il me vire les nouvelles recrues une semaine après leur arrivée. Allez Bon week-end. Quatre semaines se sont déjà écoulées. Malick est insatiable, il peut me faire l’amour deux à trois fois par jour. Toutes les situations sont bonnes et nous prenons de plus en plus de risques de nous faire découvrir par les employés ou par des quidams. Il est en plus imaginatif, il me fait découvrir des positions que je n’aurais pu soupçonner. Mon corps se modifie, mes seins ont pris du volume, mais ce que je remarque le plus, c’est que mon œillet s’est bien ouvert et qu’il est très sensible aux caresses. Plus besoin de lubrifiant, il suffit de le caresser et mon anus secrète la mouille nécessaire à l’accueil de son vit, d’autant que quelques contractions suffisent à faire rentrer mes testicules dans mon ventre. Et mon petit gland est aussi sensible que le clitoris de n’importe quelle nymphomane. Je me retrouve avec un corps de femme, même si mon cerveau est celui d’un homme. J’ai laissé pousser mes cheveux … à suivre…