1. Une Princesse en Esclavage


    Datte: 01/08/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... - « Comme convenu » lui déclare-il avec un sourire salace en tapotant la vulve palpitante d'où émergent les billets de banque. Les cinq compères essuient leur bites maculées dans le précieux manteau de vison, raccompagnent la duchesse à la porte et la poussent dehors sans ménagements. Pendant ce temps, le caméraman de Kader prenait la poudre d'escampette, conscient que son enregistrement valait mieux que de l'or : de la chatte. Le courant d'air froid réanima quelque peu Diane de Brissac. Elle retira les billets gluants de sperme de sa chatte encore palpitante du plaisir reçu. Il ne lui restait plus que 500 Euros pour réunir la somme demandée par les kidnappeurs de sa fille et elle ne savait pas si elle avait encore les nerfs de refaire l'expérience à laquelle les 5 ouvriers l'avaient soumise. Elle redescendit sa jupe, remit ses seins rougis par le traitement infligé dans son top et reposa son manteau de vison sur ses épaules malgré les trainées de foutre qui le constellaient. La duchesse s'éloigna à petits pas rapides du chantier pour revenir vers une rue plus passante : il ne lui restait plus que 40 minutes pour collecter l'argent restant! Diane fut soulagée quand un break Peugeot s'arrêta à sa hauteur au bout de quelques minutes : - «Tiens, tiens, tiens, si ce n'est pas la duchesse de Brissac » fit la voix du conducteur. Avec horreur, la duchesse reconnut le visage d'Antonio, un de leurs jardiniers. Cela faisait 5 ans qu'il travaillait pour la famille princière et Diane ne ...
    ... l'avait jamais aimé : petit, gros et d'une propreté douteuse, tout lui répugnait en lui mais son travail était irréprochable. - « Dieu soit loué! Antonio, j'ai besoin en urgence de 500 Euros. Je vous les rendrai demain matin, avec 500 Euros supplémentaires! » - « 500 pour que je ne raconte pas que ma patronne fait la pute?! » ricana-il. - « Je ne fais pas la pute!Il en va de ma fille! Ses kidnappeurs me contraignent à faire des perversités ignobles! », dit-elle en larmes. - « Ouais, ouais,... Pas très convaincant tout ça! » Antonio était sorti de la voiture et jaugeait son employeuse en marchant autour d'elle. Il n'avait jamais pu approcher cette hautaine aristocrate. - « Je ne plaisante pas, Antonio! Je vous donnerai 10 000 Euros! Hé!! Que faites-vous? » La duchesse essaya sans succès de se dérober alors que son jardinier passait sa main sur ses fesses. - « Ce que je veux faire depuis des années. » siffla-il en pétrissant le ravissant postérieur. - « Donnez-moi 500 Euros, pour l'amour de Dieu! » supplia-elle. Antonio était sourd à ces protestations et commença à la caresse, malaxant les seins, embrassant son cou, passant la main dans ses cheveux blonds soyeux... Soudain, n'y tenant plus, il l'attrape et la jette par-dessus son épaule avec une force étonnante. Il l'entraîne derrière des poubelles malgré les efforts de la duchesse qui gigote des jambes et pousse de petits cris plaintifs. Il la jette sur un vieux matelas mis au rebut et enlève ses vêtements avec rage. Madame de ...
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