1. La négociation


    Datte: 06/08/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail voiture, volupté, pénétratio,

    ... se ménager une intimité foisonnante. Mes doigts s’humectaient des gouttes de rosée perlant au bout de boucles vigoureuses. Je m’engonçais plus précisément dans ses petits secrets, au milieu des froissures de ses frêles nymphes humides à souhait. Elle refusait toujours le contact de mes lèvres en détournant sa bouche mais ne pouvait retenir quelques petits soupirs. Sa chair trempée à cœur me céda son jus explicite. Elle continuait à faire flamber le cours de ma libido de sa main droite. Le string éventré déclara forfait. Sous mes yeux elle me fit la plus fabuleuse concession qu’une femme puisse octroyer de son plein gré. Ce con promis me poussa à conclure sur une option d’achat. Nos langues se rencontrèrent d’un commun accord. — Champagne ! Le cercle vicieux de nos petites affaires me jeta nu sur le lit de sa chambre à coucher. Je la vis en tenue d’Eve à travers la porte, emmener le seau à champagne dans le tintement des glaçons frais. Ses seins balançaient négligemment leur sereine nonchalance. Son ventre et ses cuisses altruistes m’appelaient à venir siéger au pays de Cocagne de sa lande broussailleuse tout en me tenant dans une ambivalente relation de dépendance. Propre à transiger sans pour autant se donner, elle se cambrait, sans le mot et le regard insoumis. Elle se mit à califourchon sur moi et m’imposa un nouveau rapport de force. La mer impétueuse de ses cheveux s’abattit sur moi. Emergeant de la houle capillaire, ses tétons s’échouèrent sur moi. Je les cueillis ...
    ... entre mes lèvres, les tirant et les suçotant fiévreusement dans le bain avide de ma bouche, en prélude au mordillement de leur chair fervente que je sentais parvenue à point. Ses senteurs de musc m’imprégnaient le corps et l’âme d’essences à me faire perdre la tête. Comprenant mes penchants, elle dirigea les caresses de son cuir chevelu vers une destination éminemment sensible. Mon membre dut se démener comme un brave dans l’océan déchaîné de sa crinière qu’une déferlante de mèches et de boucles, pareilles à autant de mains aguicheuses, exaspéraient à dessein de douceurs et de flatteries. Pis, elle se mit à tordre et rouler sa chevelure comme un épais garrot de cuir autour de ma queue qu’elle embauma dans son orgueil érectile, la poussant dans les derniers retranchements de sa turgescente démence, comme pour mieux faire exploser le fruit hypertrophié de mon gland et surgir le nectar furibond. Je criai mon exacerbation. J’allais me pâmer dans ses filets et voyais déjà mon abandon se répandre en traînées blanchâtres dans sa marée d’ébène, les filets lactés de ma reddition coulant sur ses longues mèches noires. Elle fondit toutes dents dehors sur mon vit. Je trouvai dans le seau à champagne de quoi reprendre la main, résolu que j’étais à la faire sombrer avec moi. Au bout de mes doigts les glaçons évidés en leur centre grouillaient dans l’eau comme autant de matrices surexcitées. J’introduisis un cube de glace à l’interstice de ses lèvres et de la bride coulante de mon nœud. Sa ...
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