1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... je me répandis en excuses. Je ne savais pas exactement ce qui m’avait pris de forcer ainsi la gorge de ma sœur. Les trois Charites souriaient, et Samantha particulièrement, qui, par un petit sourire coquin, dédramatisa instantanément la situation. Ce fut ma mère qui répondit : « Se contrôler, ça ne veut pas simplement dire retarder l’éjaculation. Ça veut aussi dire respecter les envies du partenaire. La plupart des femmes aurait très mal pris ce que tu viens de faire, c’est pour ça qu’il faut toujours discuter avant de se laisser aller complètement. Mais tu as de la chance, nous ne sommes pas représentatives de la plupart des femmes, et Samantha particulièrement aime être un peu brusquée. — Mais la prochaine fois, fais attention à ma coiffure, me dit l’intéressée en partant d’un grand rire. » Grand rire que nous suivîmes tous les trois. La situation s’était détendue ; maintenant que j’avais éjaculé, je reprenais pleine possession de mes capacités intellectuelles, et j’étais impatient de connaître la suite. Je ne me demandais plus pourquoi Trish avait raconté notre mésaventure du week-end précédent aux Charites. Je la remerciai intérieurement même pour ça. Les connaissant, je savais que j’allai passer une semaine extraordinaire et je savais que ce jour-même, j’allais devenir un homme. Et que ce soit avec un membre de ma famille proche n’était en aucun cas un problème pour moi. Au conraire, je savais que quoi que je fisse, elles l’accepteraient. Pas qu’elles l’encourageraient ...
    ... ou qu’elles apprécieraient, non, elles pourraient même se mettre en colère si j’agissais vraiment mal. Mais rien ne pourrait changer le fait que j’étais le fils de ma mère, et le frère de mes sœurs, et que leur amour n’était pas conditionné à ce que je faisais, mais à ce que j’étais. J’ai toujours été jaloux de l’attention, et de la proximité qu’avaient les Charites entre elles. Un aveu et des excuses de dix minutes avaient suffi à ôter de mon esprit un grief pourtant construit sur plus d’une décennie. Alors même si j’éjaculais un peu vite, même si j’étais trop brutal, pas assez, ou si je désirais une chose qu’elles trouvaient inacceptable, je serais pardonné dans la minute qui suivrait. Pour la première fois de ma vie, je me sentais bien chez moi, et ma frustration sexuelle s’envolait. Et il n’était même pas midi. Mais malgré mon jeune âge et mon excitation, l’orgasme le plus puissant de ma vie d’alors avait laissé mon membre hors service pour encore un peu de temps. Mais aucun temps mort n’était toléré par les Charites : si je devais devenir « le meilleur coup de la région », il fallait que j’apprenne le sexe oral « passif », mais aussi « actif ». Natasha, qui avait moins participé à la première manche, fut désignée cobaye pour cette leçon, chose dont elle ne sembla pas se plaindre outre mesure. Elle s’alanguit sur mon lit, la tête bien relevée dans mes oreillers. Jusque-là, j’étais le seul de nous quatre à être nu, et c’est avec encore ses dentelles sur elle que Natasha me ...
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