1. La bénédiction (1)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... avait, quant à elle, un peu plus d’un an que moi. Rousse comme sa sœur, elle était tout aussi séduisante, bien que sa beauté fût bien différente. Plus petite qu’elle, elle était aussi plus gironde et elle était, indiscutablement, bien plus féminine que son aînée, tant et si bien qu’il était rare de la voir en pantalon. Elle avait poussé les études un peu plus loin que sa sœur, et se trouvait au moment de cette histoire en terminale d’un bac pro vente, et se préparait ainsi à se faire marcher dessus à longueur de journée par des rombières qui jalousent sa jeunesse et sa beauté en leur proposant des sacs et des chaussures bien trop chers, et avec le sourire s’il-vous-plaît. Elle n’avait pas de goût particulier pour le sport, et n’avait pas le ventre parfaitement plat et musclé de sa sœur, chose qu’elle compensait par une poitrine vraiment généreuse (et souvent enfermée dans des tee-shirts trop serrés et largement décolletés) et un cul à tomber par terre, et qui m’hypnotisait littéralement si jamais elle portait une jupette un peu moulante, ce qui lui arrivait tout de même régulièrement. Je devais alors lutter pour la regarder dans les yeux, d’un bleu profond, qui dénotaient par l’impression de maturité qu’ils renvoyaient, sur un visage qui était encore marqué des traits de l’enfance. Leur rousseur se retrouvait chez ma mère. Elle était, physiquement, un peu un mélange de ses deux filles, comme si la génétique était rétroactive. Un peu plus grande que Samantha, elle était ...
    ... cependant bien plus petite que Natasha, avec qui elle partageait la couleur des yeux. Elle ne faisait pas sa quarantaine bien passée, et si elle n’était pas aussi athlétique que Natasha, il était évident qu’elle se maintenait en forme : en fait, c’est elle qui l’avait initiée au fitness. Toujours vêtue de manière distinguée, toujours altière de port, elle ne mettait pas (plus ?) en avant ses attributs comme le faisait Samantha, bien qu’elle pût rivaliser avec elle sur ce plan. Même si je n’éprouvais pas un amour immodéré pour mes proches, je n’avais d’autre choix que de reconnaître que j’étais entouré par un avatar des Charites. Et fort logiquement, je fantasmais assez fortement sur chacune d’entre elles, la culpabilité que j’en ressentais me faisant me séparer un peu plus de ma famille. Il faut dire qu’en plus d’être le seul garçon, j’étais aussi à part physiquement. J’étais le seul à avoir récupéré les cheveux bruns de mon père, que je portais relativement longs, ainsi que des yeux noisette. Je faisais un peu de sport (du handball) avec le lycée, et j’étais donc plutôt en forme, sans être Schwarzenegger. Contrairement à mes sœurs, je réussissais bien au lycée, et je préparais un bac scientifique, avec la ferme intention de devenir ingénieur. J’avais la prétention d’être une sorte d’intellectuel, et je ne me sentais pas trop à ma place à table où ma parenté ne discutait que de mode, d’un quelconque télé-crochet ou, très souvent, de leurs conquêtes respectives. Car elles étaient ...
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