1. Wagon de nuit


    Datte: 07/08/2020, Catégories: fh, fhhh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail handicap, voyage, train, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme occasion,

    ... de Gilbert. Un gémissement, elle s’est arquée sous la pénétration brutale, puis elle se détend et le laisse aller et venir rapidement dans son ventre. En regardant le bout de ses doigts qui frôlent les épaules de Gilbert, j’ai la surprise de trouver les pupilles de Clémence rivées sur les miennes. Elle ne me sourit pas, elle n’a pas l’air fâché non plus. J’ai l’impression qu’elle me regarde avec curiosité, se demandant peut-être ce que je peux penser d’elle, de se laisser faire ainsi par Gilbert qui s’agite frénétiquement sur elle. Puis, comme précédemment, son regard se pose sur mon pantalon, là où se trouve mon sexe… Je ne sais pas si c’est de les voir faire l’amour devant moi ou à cause de son regard, mais je sens mon sexe tressauter : comment se peut-il qu’il réagisse déjà ? Il y a combien de temps qu’il l’a pénétrée ? Je ne sais pas… Trente secondes pas plus, et déjà il jouit en grognant, les fesses contractées et une jambe curieusement allongée vers l’arrière qui tremble légèrement à chaque fois qu’il éjacule. Pendant tout ce temps, elle ne me quitte pas des yeux, comme si moi seul avait de l’importance, comme si elle se masturbait devant moi avec un ustensile et s’offrait en spectacle, attentive mes émotions. C’est fini, ils ne bougent plus. Cette fois elle ne le laisse pas récupérer sur elle comme elle avait fait avec Claude. Doucement mais fermement, elle le repousse sur le côté. Gilbert doit faire un terrible effort pour sortir de sa petite mort et ramper vers ...
    ... le centre de la banquette. Au passage, je vois son sexe s’extraire de la cachette, ressortir long et flasque et pendre un instant entre les cuisses de Clémence. Avec délicatesse, elle prend son sexe et ses testicules dans le creux de sa main et accompagne son mouvement pour qu’il ne se fasse pas mal en passant par-dessus sa cuisse. Assise à côté de lui, elle attrape son tricot de peau, l’enfile et fait disparaître sa nudité. C’est comme un rideau qui tombe sur une pièce magnifique où les spectateurs sont encore sous le charme de la cantatrice et ont du mal à comprendre que c’est fini. Elle pose son pantalon sur son bras, ajoute culotte et chemisier et se lève. Elle pose un pied sur le bord de ma couchette et se hisse pour dire au-revoir à Claude. Pendant que j’entends les deuxsmak qu’elle dépose sur ses joues, j’ai le droit de contempler de près son trésor sombre et de sentir son odeur forte de femme qui a eu du plaisir, mélangée à des senteurs d’homme… C’est extrêmement troublant. Quand elle se penche vers moi, je tends ma joue avec un sourire. Elle l’évite et pose ses lèvres sur les miennes avec une infinie tendresse pendant que sa main vient constater l’effet produit par sa séance avec Gilbert. C’est la première fois de la soirée que nos langues se caressent, je voudrais que ce baiser ne finisse jamais et que sa main continue ce léger petit mouvement, mais elle se dégage doucement et la pression de sa main disparaît. Elle ouvre la porte et se glisse dans le couloir pour ...
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