1. Marion ; une veuve, une maman (9)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Une fois les préparatifs achevés, Marion se retira dans sa chambre. Aux pieds des escaliers, Mathieu suivait son ascension, les yeux rivés sur son cul. Allongée sur son lit, elle se demanda comment il l’aurait trouvée, s’il l’avait rencontrée quand elle avait son âge. Elle était superbe alors. Elle était fine, plus élancée. Ses seins étaient plus fermes, ses hanches moins larges. Elle était encore belle maintenant, sinon plus. Les hommes se retournaient sur son passage aussi souvent qu’avant. Pourtant, comme beaucoup de jolies femmes à l’approche de la quarantaine, elle remettait en question son pouvoir de séduction. Son corps s’était transformé. Il avait gagné en volupté ce qu’il avait perdu en fermeté. C’est probablement ce qui lui plaisait. Ses formes prononcées, ses courbes affolantes, toute cette abondance émoustillante. Ses seins. Il était fou de ses seins. La plupart des hommes adorent les grosses poitrines, et son fils ne faisait pas exception à la règle. Elle était toujours étonnée, et un peu inquiète, quand il se jetait sur ses nichons comme un mort de faim. Il la tétait avec passion, passait de l’un à l’autre, aspirait ses mamelons comme un véritable glouton. Elle n’osait pas lui dire qu’il lui faisait mal, il avait l’air si heureux. Quand il était enfant, qu’elle lui donnait le sein, c’était déjà un affamé. Aujourd’hui, il se repaissait des lourdes mamelles pour une autre raison, mais elle en ressortait aussi meurtrie, aussi lessivée que quand il était nourrisson. ...
    ... Elle avait l’impression de n’être qu’une friandise pour lui, un délicieux gâteau dont chaque bouchée engloutie décuplait l’appétit. Ses joues s’empourprèrent à l’évocation de cette métaphore pâtissière, et pour cause ; il lui avait « bouffé la chatte » à plusieurs reprises. Elle détestait cette expression, qu’elle trouvait affreusement vulgaire, mais elle exprimait pourtant au plus près ce qu’il lui avait fait... Avant de rencontrer son futur mari, elle sortait avec un garçon, Bruno, qui était devenu son premier flirt sérieux. Il donnait, sans arrêt, et à tout le monde, l’impression de ne pas en revenir qu’une fille comme elle l’ait choisi, lui. Il était complètement à sa botte. Après les cours en amphi, ils allaient chez elle ; ses parents travaillaient encore à cette époque, elle savait qu’ils ne seraient pas dérangés. Ils montaient dans sa chambre, se déshabillaient, se mettaient au lit. Comme Marion refusait de lui offrir sa virginité, elle avait trouvé un compromis, afin que son petit ami ne soit pas trop frustré. Ils se caressaient, se roulaient des pelles qui n’en finissaient pas. Elle le masturbait volontiers, lui permettait même de la doigter, mais elle refusait d’aller plus loin. Comme elle resta avec lui plus longtemps qu’il ne s’y attendait, Bruno commença à s’impatienter. Le jour où il demanda à Marion de le sucer, elle prit un air offusqué. — Je ne ferais jamais ça... jamais, tu m’entends... c’est dégoutant  ! — Et moi, je peux ? Quand elle réalisa ce qu’il lui ...
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