1. Marion ; une veuve, une maman (9)


    Datte: 07/08/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... audacieuses. Sa mère lui avait montré, depuis, la différence qu’il existait entre une experte en fellation et une petite suceuse sans talent. Il avait également découvert le cunnilingus avec sa maman. Autant sa chatte l’avait tout de suite inspiré, lui avait donné envie d’y retourner, autant s’aventurer entre les cuisses de ses jeunes conquêtes ne lui avait jamais effleuré l’esprit. Pour tout dire, avant de dévorer la vulve maternelle - si juteuse, si succulente -, l’idée de fourrer sa langue dans le sexe d’une fille avait plutôt tendance à le dégouter. « Je vais baiser ma mère... je vais baiser maman... ». Il avait beau se le répéter, vouloir s’en persuader, il n’en menait pas large. Il doutait de lui comme jamais. Il craignait de ne pas être à la hauteur. Il espérait de tout son cœur qu’une fois au lit, le moment venu, sa détermination aurait raison de son appréhension... fgqfppwy Le réveillon de Noël – messe profane célébrée par des millions de fidèles à travers le monde – offre aux gens l’occasion de se retrouver une fois l’an. Ils sont un peu guindés au départ, et puis, grâce au champagne qui coule à flots, aux anecdotes partagées, aux souvenirs communs, on se déride peu à peu et l’ambiance devient festive. Il y a toujours un oncle un peu alcolo qui se lâche après le verre de trop, une cousine extravertie qui fait honte à tout le monde, une aïeule acariâtre, des enfants surexcités par la promesse des cadeaux... Ces poncifs, partagés par tant de familles, font que la fête ...
    ... est réussie. On appelle ça la magie de Noël... Mathieu fut charmant avec tout le monde, respectueux avec les plus vieux. Il guettait sans arrêt sa mère, et elle s’en aperçut très vite. Elle portait une robe bustier noire, qui mettait en valeur son décolleté, ses mollets fins et galbés. Elle était juchée sur des talons aiguilles qui lui donnaient une démarche chaloupée. Ses cheveux étaient rassemblés dans un chignon serré. Elle avait l’air d’une madone à qui on donne le bon Dieu sans confession, mais aussi d’une salope qui cache bien son jeu. Elle était lumineuse, épanouie. Elle rayonnait de ce grisant sentiment de puissance qu’on éprouve de se savoir au cœur de l’attention. Elle savait ce qu’elle était capable de provoquer, les sentiments violents qu’elle inspirait aux mâles. Ils rêvaient tous de se la faire, et ils n’essayaient même pas de le cacher. Elle voyait la frustration dans leurs yeux, elle devinait leurs reproches : « Alors, salope, tu vois l’effet que tu me fais ? Tu réalises dans quel état je suis à cause de toi... Tu es fière de toi, sale petite pute arrogante ? ». C’est peu dire qu’elle l’était. Et comment qu’elle était fière ! Les hommes présents, qui n’étaient pour la plupart pas directement liés à elle par le sang, lui rappelaient ses collègues enseignants, et elle les méprisait tout autant. Ils ne pouvaient pas s’empêcher de lui faire du rentre dedans, malgré la présence de leurs épouses, le caractère sacré de la soirée. Ils ne voyaient pas plus loin que le ...