1. Emeline, la coquine...


    Datte: 08/08/2020, Catégories: fh, fplusag, inconnu, fépilée, magasin, essayage, collection, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fsodo, portrait,

    ... n’étais pas beaucoup à la conversation et cela devait certainement se voir, ou s’entendre, car au bout de quelques secondes, Emeline a avancé ses fesses encore un peu plus au bord du fauteuil ; avec un curieux éclat dans ses yeux bleus, elle m’a proposé de venir rendre un hommage lingual à son intimité. Et comme pour mieux m’inviter, elle a basculé sur le dos dans le fauteuil, troussant sa jupe et écartant encore plus les jambes en les posant sur les accoudoirs… J’ai eu l’impression que mes yeux me sortaient de la tête, ma bouche devint archi-sèche, ma langue pesait trois tonnes… Mû par le ressort de l’excitation, je me suis extrait de mon pouf-poire et j’ai avancé ma tête vers cette intimité ouverte, déjà luisante de désir et qui n’attendait que ma bouche, ma langue et mes lèvres pour s’ouvrir un peu plus. Et me voilà, à genoux devant ce tabernacle offert, bisouillant le haut des cuisses, nues, à la limite des bas noirs. Le contact de la peau des cuisses m’a survolté, érotisé, excité. Elle était douce, satinée, soyeuse. Elle sentait le musc et aussi une légère transpiration aigrelette. Mes lèvres ne se sont attardées qu’un petit moment en cet endroit avant de s’approcher de son entrejambe. Emeline retenait sa jupe avec ses doigts. Le buisson pubien formait réellement une sorte de flèche qui semblait indiquer le chemin du plaisir. J’y ai fourré mon nez, en découvrant quelques odeurs capiteuses et entêtantes qui m’ont fait tourner la tête et ont déclenché une série de spasmes ...
    ... dans mon pantalon. Du bout des lèvres, du bout de la langue, je sentis le velouté des poils, puis l’interruption du système pileux et je fus au contact de la peau légèrement plissée, du haut de sa vulve. Plis dans lesquels je me suis perdu. Du bout de ma langue, je léchai, suçotai et tentai de pénétrer les plis, replis et flétrissures de cette peau chaude, odorante, humide. Sous ma langue, je touchai la tige longue et déjà dure du clitoris qui bandait et se tendait. Par petits coups de langue, j’en mouillai la petite hampe et, en arrivant au bout, je lui appliquai une aspiration des lèvres et le décalottai. A cette aspiration, j’ai entendu le souffle d’Emeline s’accélérer et se saccader. Elle devait aimer ce genre de caresse, car de ses deux mains, elle m’a plaqué le visage contre son ventre et il m’a fallu toute la force de mon cou pour résister à la pression, obtenir un peu d’air et récupérer ma marge de manœuvre. Du bout des dents, je suis allé cueillir le petit bout de chair pointu et glissant et l’ai fait rouler pendant que ma langue l’agaçait. La respiration d’Emeline s’est interrompue immédiatement pour laisser place à des grognements rauques. Puis, j’ai abandonné son clitoris et ma langue est descendue sur l’ouverture de son intimité. Au contact de mes lèvres, de ma langue, comme une corolle de fleur, son sexe s’est ouvert et m’a livré un large méat, douceâtre, glissant, luisant, suintant. Ma langue en a rapidement fait le tour et a titillé l’entrée hérissée de picots ...
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