1. Hélène 1 : la rencontre


    Datte: 09/08/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dessous. Pour le soutien-gorge, j’ai relevé vos mensurations avant de vous quitter, et je me suis fait aider par une amie qui a un magasin de lingerie. Le serveur présente le tiramisu géant et le partage entre nous deux. Pierre me ressert un verre de lambrusco. - Et pourquoi deux culottes – lui demandai-je - Les culottes sont l’article qui s’use le plus vite, Avec deux culottes, vous gardez votre parure plus longtemps, et vous vous souviendrez plus longtemps de ce jour. Après une bouchée de tiramisu, Pierre reprend. - Je parie que vous avez gardé la culotte classique. - Quoi ? Fais-je surprise. - Parions ! Si je me trompe, je vous offre un autre ensemble -. - Inutile, vous avez gagné. - Prouvez le moi ! - Comment ? - Facile, donnez-la-moi. - Je ne comprends pas. - Enlevez votre culotte, là, maintenant. - Dans le restaurant, je n’oserai jamais. - Vous êtes sur la banquette, vous voyez toute la salle, choisissez le moment quand personne ne vous regarde. J’hésite, puis je me décide ; je dois être cinglée. Je tire la nappe pour me cacher, je trousse ma robe, et je glisse mes mains pour attraper ma lingerie, puis je la fais glisser sur mes cuisses, elle passe mes genoux , et tombe sur mes chevilles Il se penche, regarde sous la nappe, je tends ma jambe, et il récupère ma parure et la glisse dans sa poche. - Alors. Je suis rouge pivoine, mais finalement assez fière de mon audace. - C’est très excitant. Et plutôt coquin. - Vous voyez, vous aimez jouer. Cafés, addition, pourboires et ...
    ... nous voici dehors avec la bouteille dans un sac. Je m’accroche à son bras et nous retournons au 4X4. Comme à l’aller, il m’ouvre la portière. Comme je m’installe, il me murmure. - Vos fesses à nu sur le siège. Sans hésiter, je me trousse, lui montre mes cuisses et mes jarretelles et je m’assoie le cul directement au contact du cuir, en le regardant dans les yeux avec un air de défi. En un instant, nous nous retrouvons dans l’escalier de mon immeuble. J’ai gravi les quatre premières marches quand je senti sa main sur mon mollet. Je m’arrête comme pour l’inviter à monter plus haut. Ce qu’elle fait, dépassant la lisière du bas, caressant le gras de ma fesse et s’insinuant dans ma fente, déjà humide. Je soupire, il insiste et câline mon anus du pouce. Je me fais doigter le sexe et l’anus, dans l’escalier de mon immeuble. Je suis devenue complètement folle. - Pouvez-vous vous trousser, que je vois ce cul splendide monter l’escalier ? Je relève ma jupe et je lui offre le spectacle demandé en accentuant le roulis naturel de mes fesses. Une fois dans l’appartement, je le plaque contre la porte et avant de lui prendre les lèvres, je lui murmure. - Mon amour. Tu vas y passer. Ca fait quinze jours que je t’attends. Il me rend mon baiser, avec passion, ses mains se plaquent sur mon cul mis à nu. Il me pousse dans ma chambre, et me fait tomber sur le dos dans le lit, sans me déshabiller. Il entame un broutage de minou déchainé. Puis reprenant son souffle, il fait glisser ma jupe et passa ...
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