L'invisible secrétaire médical
Datte: 09/08/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
médical,
grossexe,
fsoumise,
vengeance,
portrait,
humour,
... demandant s’il aurait le courage de franchir les deux étages qui le séparaient de la jeune femme. Avait-il bien compris ? S’était-elle moquée de lui ? Avait-elle changé d’avis ? Que voulait dire la lueur qu’il avait vu danser dans ses yeux ? Pourquoi cette invitation ? Était-ce réellement pour un simple café, ou… Quand il arriva, fébrile, au troisième étage du bâtiment, la nuit avait déjà recouvert celui-ci d’un voile complice. La pénombre des couloirs, les bruits provenant des entrailles de ce grand vaisseau, les chuintements incessants des ascenseurs dans leurs perpétuels va-et-vient, le claquement d’une porte, une sonnerie, lointaine, quelque part… Il était dans son environnement, et malgré le stress cela avait quelque chose de rassurant… de bon augure. Du fond du couloir il vit la tache de lumière que créait l’éclairage du bureau dont la porte était ouverte. Tremblant, il s’en approcha tout doucement, comme s’il avait peur de ce qu’il allait y trouver et frappa si faiblement que l’on aurait pu penser qu’il ne voulait pas être entendu. Une voix venant de l’intérieur lui enjoignit pourtant d’entrer ; ce qu’il fit, non sans une certaine appréhension. Quand elle le vit pénétrer dans son bureau, Séverine regretta presque ses avances. Il avait l’air si gauche, si emprunté, tellement petit garçon penaud, pris en faute, qu’elle se demanda ce qu’elle avait bien pu lui trouver. Et surtout… que pouvait-elle attendre des performances d’un tel amant ? Fataliste, elle s’approcha ...
... de lui avec la ferme intention de prendre la direction des opérations. Elle marqua un temps d’arrêt à quelques centimètres de son visage, puis ses mains virent tout naturellement enlacer la nuque du garçon, l’attirant jusqu’à ce que leurs lèvres se joignent. Au premier contact, elle se surprit à penser que celles de son partenaire étaient douces et chaudes, pulpeuses. Celui-ci par ailleurs ne perdait pas de temps : la main droite partie en reconnaissance explorait déjà le côté pile de son anatomie, là où sa petite blouse blanche dessinait une si jolie courbure, l’attirant à lui tandis que de sa main gauche il emprisonnait un de ses seins. Émoustillée et agréablement surprise, elle l’entraîna. — Viens, dit-elle. Ils trouvèrent refuge dans la petite laverie attenante au bureau, espace exigu mais tranquille qui avait dû à maintes reprises abriter les amours aussi tumultueuses qu’interdites des bipèdes du secteur. Prenant alors la direction des opérations, il la saisit avec une ardeur qu’elle n’aurait pu imaginer de la part de l’empoté maladroit qui l’avait bousculée tantôt. Le fragile rempart qui lui servait de vêtement faillit en être la première victime. Par mesure de précaution, elle s’en débarrassa au plus vite pour s’offrir, dans le plus simple appareil, à son amant. Celui-ci se dévêtit avec la même ardeur et bientôt ils roulèrent, complètement nus, sur les sacs de linge empilés. Mais il était écrit que dans cette aventure, elle était encore loin d’arriver au bout de ses ...