1. L'invisible secrétaire médical


    Datte: 09/08/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail médical, grossexe, fsoumise, vengeance, portrait, humour,

    ... attendre sur Séverine qui, à partir de ce moment, perdit toute maîtrise. Agitée des pieds à la tête par des spasmes incontrôlables, râlant d’un plaisir si violent qu’il en devenait douloureux, son ventre n’était plus que fournaise délivrant des flots de liquide chaud et odorant où ils baignaient maintenant tous deux. Cette lubrification opportune propulsa le jeune homme de plus en plus profond à chaque coup de boutoir pour qu’enfin il vienne buter sur le mont de Vénus de sa partenaire. Empalée jusqu’à la garde, Séverine, comme saisie de folie, n’était plus qu’un cri. Tout en la besognant de plus en plus rapidement, il saisit le clitoris de sa partenaire qu’il roula entre ses doigts, achevant de précipiter Séverine dans un délire orgasmique. Elle jouit comme une possédée, secouée de soubresauts, poussant sans discontinuer des hurlements plaintifs qui se répercutaient le long des corridors endormis, réveillant de-ci de-là personnel et malades inquiets. Cédant à l’émotion après le plus brutal orgasme de sa vie, Séverine, accrochée au corps de son amant, sanglotait à chaudes larmes. Son compagnon, redevenu plus tendre, la serrait amoureusement contre lui. Les pleurs s’atténuèrent peu à peu et le va-et-vient démoniaque du pénis recommença, lentement tout d’abord, puis accélérant. Action qui entraîna les mêmes effets dévastateurs chez la jeune femme. Quand ils se séparèrent, Séverine ne tenait plus sur ses jambes, anéantie par cette séance mémorable. Jamais l’expression « s’être ...
    ... fait défoncer » n’avait pris pour elle autant de signification. Son mari, surpris de la voir si exténuée au petit matin, ne lui demanda pas – contrairement à ses habitudes – à bénéficier de ses faveurs ; peut-être aurait-il été troublé de se sentir aussi à l’aise dans ce vagin qu’il connaissait pourtant si bien… Les glapissements énamourés de Séverine servirent-ils de « bruits de couloir » dans cet univers clos où le bouche-à-oreille fonctionne tout aussi bien que le bouche-à-bouche ? Toujours est-il que les jours suivants, l’univers de notre petit secrétaire bascula, quittant son statut d’homme invisible pour celui de personnalité connue. De jour en jour, il lui semblait que la chape de transparence qui l’avait toujours nimbé se désagrégeait progressivement. De plus en plus de gens se mirent à le saluer en le croisant dans tous les coins de l’hôpital ; les regards s’attardaient, surtout ceux des jolies filles, mais aussi quelquefois celui des moches. Il ne pouvait plus faire un pas sans être reconnu, flatté, dragué… ni prendre un ascenseur sans qu’une ou deux infirmières, aides-soignantes, secrétaires, se glissent dans la cabine en lui lançant des regards alanguis jusqu’à l’arrêt de l’appareil. Les premières semaines furent un peu difficiles, car vivre au grand jour est un traumatisme pour celui qui n’a toujours côtoyé que l’ombre. Puis, petit à petit, l’habitude s’installant, il se mit à apprécier cette sortie d’anonymat. Entre-temps, il avait bien sûr revu Sandrine dans ce ...
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