1. Le désir brut


    Datte: 10/08/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail magasin, fsoumise, Oral fouetfesse, confession,

    C’était l’été de mes vingt ans. J’étais à l’époque une jolie jeune fille, élancée, cheveux châtains mi longs. Issue d’un milieu modeste, mes parents ne pouvaient guère me payer de vacances. Il me fallait travailler pour me payer mes études de médecine. Je me suis donc fait embaucher pour un job d’été dans une boutique de luxe à Paris près de la Place Vendôme. Les rapports hiérarchiques y étaient très stricts. Nous devions toujours répondre poliment à nos supérieurs ou aux clients : « Oui Monsieur. Bien Madame ». Mon supérieur direct à la boutique était un type assez beau, quarante ans, sympa avec moi, sans doute marié. Je me souviens bien de son âge parce que c’était juste le double du mien. J’étais curieuse et un peu sous le charme. J’avais envie de lui, même si je savais que ce ne pouvait être qu’une relation sans lendemain. J’eus l’impression à plusieurs reprises que je ne le laissais pas indifférent. À la boutique, nous n’étions jamais seuls. Il restait très professionnel et moi, je n’osais évidemment rien. En dessous de la boutique, il y avait une cave aménagée où l’on rangeait du matériel et entreposait les cartons de marchandise. Entre la boutique et la cave, il y avait un long escalier en colimaçon. Un jour, il me demanda de descendre travailler dans la cave pour répertorier la marchandise. Je dus lui répondre : — Bien Monsieur. Alors que je travaillais à ranger des lots de produits, seule et absorbée par mon travail, j’entendis des pas dans l’escalier. Quelqu’un ...
    ... venait. C’était lui. Il venait vérifier si tout allait bien. J’étais sur un petit escabeau, un peu en hauteur, il avait mes jambes et mes fesses juste en face de lui. J’aurais dû redescendre pudiquement mais, un peu par provocation, je suis restée ainsi. Je savais qu’il me regardait (les filles, nous avions des jupes noires, une sorte d’uniforme) et que le mouvement de mon corps, tendu pour attraper un carton, ne faisait que remonter encore ma jupe sur la jambe. Sous prétexte de me tenir pour ne pas que je tombe, il posa ses mains sur mes chevilles. Le contact de ses mains se refermant sur moi m’électrisa. Je ne bougeai pas et continuai à faire semblant de travailler. — Vous avez des jambes magnifiques, Mademoiselle, murmura-t-il sourdement.— Merci Monsieur. Il commença alors à me caresser les jambes, au-dessus des chevilles. Je ne bougeai toujours pas, comme si ce qu’il me faisait était parfaitement naturel. Une bonne minute dut s’écouler ainsi. Lui me caressant les jambes entre les chevilles et les genoux, et moi perchée en l’air. Puis il ajouta : — Vos fesses aussi sont superbes, Mademoiselle.— Merci Monsieur. Je sentis alors ses doigts errer délicatement sur mon postérieur. Il me palpait les fesses et, là encore, je me suis laissé faire. Il n’y avait alors plus aucune ambiguïté dans son geste. C’était une franche caresse. C’était très excitant pour moi et je suppose pour lui aussi, d’autant que je continuais à faire semblant de m’affairer avec les cartons. Puis il a glissé ...
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