1. Le désir brut


    Datte: 10/08/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail magasin, fsoumise, Oral fouetfesse, confession,

    ... une main sous ma jupe, le long de la jambe. Je me suis dit alors qu’il valait mieux que je descende de mon perchoir car je risquais de défaillir et de chuter. Mais redescendre aurait pu aussi signifier que je ne souhaitais pas qu’il aille plus loin. Or j’en mourrais d’envie, qu’il aille plus loin… Alors, comme s’il avait compris le malaise, il me dit : — Mademoiselle, je crois qu’il vaudrait mieux que vous descendiez de cet escabeau. Je suis descendue. Il était face à moi, m’a dévisagée, puis m’a déclaré : — Il faut que je remonte à la boutique. Ne vous déconcentrez surtout pas. Bon travail, Mademoiselle.— Merci Monsieur. J’étais estomaquée, excitée et déçue à la fois. Peut-être avait-il eu peur d’aller trop loin. Après tout, harcèlement sexuel d’une vendeuse dans la cave, c’était un motif de licenciement sec. Les jours suivants, il resta distant avec moi dans la boutique comme auparavant, mais un jour, en début d’après-midi, quand la clientèle est la moins nombreuse, il me demanda de redescendre à la cave pour ranger le nouvel arrivage. — Bien Monsieur. Au bout d’une demi-heure, il est venu me rejoindre dans la cave. Cette fois-ci, je n’étais pas sur l’escabeau mais j’allais et venais entre les cartons. Au moment où je me penchai en avant pour ouvrir l’un d’entre eux, il est venu se coller derrière moi et a posé sa main sur mon cul. — Vos fesses sont toujours aussi plaisantes, Mademoiselle me déclara-t-il. Cette fois-ci, je n’ai pas répondu mais je l’ai laissé me peloter. ...
    ... Puis il a tranquillement relevé ma jupe : je n’ai pas bougé. J’avais les deux mains posées sur le bureau. Ensuite il a descendu ma petite culotte et mes collants et a entrepris de me caresser le sexe. Je dégoulinais d’excitation. Il était très habile avec ses doigts. Je hoquetais de plaisir et il comprit tout de suite qu’il m’avait m’a fait jouir. — La prochaine fois, vous vous occuperez de votre chef de boutique, Mademoiselle.— Bien sûr, Monsieur, ai-je répondu sans hésitation. Puis il est remonté travailler en haut. Le lendemain, le même scénario se reproduisit. Il m’intima l’ordre de descendre travailler dans la cave. Je répondis de l’air le plus neutre possible pour ne pas alerter les autres vendeuses. Une heure plus tard, je l’entendis descendre. Je perdis évidemment toute concentration dès qu’il commença à s’approcher de moi et à me prendre contre lui. Cette situation de clandestinité m’excitait plus que tout autre. Il glissa ses mains sous le petit pull que je portais à même la peau, sortit mes seins du bonnet du soutien-gorge pour me toucher les pointes qu’il se mit à agacer. En même temps, je sentis son genou s’introduire entre mes cuisses et je laissai mon ventre se frotter contre sa jambe envahissante. Il me murmura à l’oreille – mi sérieux, mi plaisantant— qu’il aimait bien les employées douces et obéissantes. — Vous êtes douce et obéissante, Mademoiselle ?— Bien sûr, Monsieur. Alors, il me demanda de me mettre à genoux devant lui et me présenta son sexe. Je le ...