1. Le désir brut


    Datte: 10/08/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail magasin, fsoumise, Oral fouetfesse, confession,

    ... caressai avec plaisir puis il me pressa la nuque pour que je le prenne en bouche. Je dus le prendre entièrement et le nettoyer avec ma langue après sa jouissance. Les jours suivants, il me demanda de descendre au local dans la cave pour faire ceci ou cela. Les séances de « rangement » dans la cave avaient lieu une ou deux fois par semaine, au gré des affluences de la clientèle. C’était devenu une sorte de code entre nous. C’était toujours moi qui étais choisie. Je savais qu’il viendrait me rejoindre. Enfin pas toujours quand même car il n’était pas si libre que cela. Nous aurions pu être virés sur le champ si nous étions découverts mais l’escalier était très sonore et nous aurions entendus quelqu’un venir. Je n’ai jamais commencé à le provoquer en quoi que ce soit et j’attendais qu’il me dise, ou plutôt m’ordonne : — Remonte ta jupe, montre-moi ta poitrine, viens me caresser. Et moi je répondais : — Oui Monsieur, bien Monsieur, tout de suite Monsieur. Il me prenait souvent debout contre un mur ou une table. Je devais toujours obéir à ses ordres et ça m’excitait de rester passive. Jamais je ne suis de moi-même allé l’embrasser ou le caresser. Il gardait toujours l’initiative. Une fois que j’étais à genoux en train de plier des vêtements dans des cartons, je le vis arriver et tendis les fesses en arrière volontairement en creusant les reins. Je sentais son regard sur moi. Je le provoquais littéralement. Il me déclara qu’il trouvait absolument anormal qu’une jeune vendeuse ...
    ... trémousse ainsi son derrière et il commença à me flanquer des tapes sur mes fesses. Je ne m’y attendais pas, mais je lui ai souri pour lui signifier mon accord à ce nouveau jeu. Il a immédiatement accentué la chose. Je me trémoussais un peu plus. Puis il a entrepris de me relever la jupe sur les reins, de dévoiler mon cul masqué par la petite culotte. Ses coups se sont alors accentués. À chaque claque, il me passait un doigt sur la fente comme pour me signifier qu’il me voulait quand même du bien. La séance a ainsi duré quelques minutes. Il me fessait pour son plaisir et le mien ! Je me souviens avoir été très troublée. Une autre fois, il me demanda de soulever ma jupe et je dus me dénuder le bas devant lui. C’est alors qu’il m’a installée en travers sur ses genoux pour me fesser, cette fois plus sérieusement. Il me mettait sa main sur la bouche comme un bâillon pour que mes cris n’ameutent pas les collègues en haut… J’étais vraiment dans un drôle d’état à l’issue de cette fessée. Humiliée mais heureuse. En fait, j’adorais cela. Car c’est ce mélange de douce humiliation et d’excitation qui crée l’érotisme de la situation. Ceux qui n’ont pas connu ce sentiment ne peuvent comprendre. Je me souviens que je me suis souvent caressée par la suite en revivant cette scène tout à fait scabreuse. Pendant tout l’été, il ne me m’a jamais proposé de me rencontrer en dehors du travail, de boire un café avec lui et nous n’avons donc jamais parlé de cette expérience. Nous n’avons jamais couché ...