1. Les frasques de mon bureau


    Datte: 09/10/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail entreseins, Oral

    ... imminente. Elle le sait et aventure un doigt sur mon anus. Elle me pénètre délicatement. Mon excitation devient telle sous ses divins coups de langues et ses caresses coquines que je ne peux retenir plus longtemps mon plaisir. Elle s’accroche à mon membre, l’enserrant dans sa bouche et de toute sa main. Elle se tient prête. Dans une explosion de jouissance, je lui lâche une série de puissants jets qu’elle reçoit en pleine bouche. Elle ne bronche pas et avale tout, je la sens déglutir. Puis, elle se retire et reprend sa respiration. Sa bouche est couverte de sperme. Elle lèche ses lèvres en me regardant, avide d’en avoir plus. Ses yeux me disent « encore ». Sa main n’a pas cessé son mouvement. Son pouce et son index serrés comme un étau s’attardent sur mon énorme gland violet, glissant et inondé d’un mélange de salive et de semence. Elle m’aspire, encore une fois, langoureusement et après quelques instants et quelques va-et-vient, récolte une autre série de jets. Je jouis de nouveau. Cette fille est une vraie reine de la turlutte. Elle vient de me faire éjaculer deux fois de suite. Ses doigts sont maculés de sperme dégoulinant. Elle les suce lascivement, un par un, en me fixant droit dans les yeux. Elle se régale, ...
    ... moi aussi. Sophie se relève et me fait partager le goût de ma liqueur de vie. Elle m’embrasse avec passion. Puis, elle vient susurrer quelques mots à mon oreille. Sa voix est tendre et sensuelle. — Ça t’a plu ? Parce que moi j’ai adoré.— Ah oui, faudra me faire ça plus souvent !— C’est d’accord. Et si t’es sage, la prochaine fois tu auras peut être droit à plus.— Chouette, j’en bande d’avance. Elle m’embrasse une dernière fois puis se sauve. Je reste seul dans mon bureau, un peu hébété par ce qui vient de se passer, le pantalon aux chevilles et la chemise à l’autre bout de la pièce. Mon compagnon est désormais mon plat de nouilles chinoises, maintenant froid et quelque peu ragoûtant. Mon sexe en revanche, est toujours brûlant et en érection, à l’air, trempé mais lavé de toutes ses sécrétions. Elle a assuré jusqu’au bout. Les images de Sophie et de sa gâterie repassent en boucle dans ma tête. Déjà, j’entends mes collègues revenir de leur déjeuner. Je redescends brutalement sur terre. Rapidement, je récupère ma chemise et ma cravate éparpillées et me rhabille. De façon toute aussi rapide, je range sommairement le désordre. Il ne faut pas laisser trop d’indices sur les frasques dans mon bureau. Ouf, il était moins une. 
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