Notre institutrice (2)
Datte: 14/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
pour ne pas hurler son bonheur. Chapitre 2 Dans la grange, l’homme se montre particulièrement sadique et mademoiselle ne semble pas détester à l’entendre parfois traiter son bourreau de couille molle. Là, pendant ces moments, l’homme se montre particulièrement violent. Giflant, frappant, fouettant à tour de bras le corps de notre professeur. Cette démonstration dure plus de deux heures et mademoiselle donne des signes évidents de fatigue. L’homme rassemble ses affaires, les remet dans son sac et pose quatre petits boîtiers sur chacune des cordes qui retiennent mademoiselle. Une fois la voiture partie. On enfile nos vêtements et allons voir notre institutrice encore attachée. « Mon dieu, que faites-vous ici ? » « Nous, rien, on passait par là. Mais vous, oui vous et vos cours de moral, vous faites quoi ici ? » « Détachez-moi, et je vous en ferais voir de la moral. » Nous crie mademoiselle. « T’as vu ces petites boites, Irène, on dirait des petites minuteries. Pour moi, il doit y avoir un mécanisme qui coupe la corde ou la fait exploser. À voir l’heure réglée, on sera au lit déjà, c’est réglé sur minuit. » « On la délivre ? » me demande Irène. « Certainement pas. Dommage que je n’ai pas mon appareil photo. Je me demande ce que la mère supérieur en penserait, vilain, je pense, n’est-ce pas mademoiselle la moralisatrice. » « Tu crois que sa mouille est aussi bonne que la mienne ? » Me demande Irène « Faut voir, de toute manière, elle ne va pas dire non, notre professeur et sa ...
... morale, n’est-ce pas ? » « Vous êtes fous. Délivrez-moi ou demain je vous flanque une fessée devant toute le collège ! » Hurla-t-elle. « Je ne crois pas, Mademoiselle, je vais retirer les petites boites et on verra bien. Goute, mon amour, cela ne doit pas être mauvais après tout. Si elle a ton gout, je vais aussi la boire un peu. » Sûr de mon fait. Irène se glissa entre les cuisses largement ouverte de notre professeur et commença à la lécher. Mademoiselle ne disait plus rien, la langue d’Irène faisant son petit effet. De plus, comme je retirais délicatement les boîtiers censés couper les cordes, Mademoiselle avait tout intérêt à ne plus manifester de colère. Après les boîtiers, c’est son corps de femme que je caressais, m’attardant sur sa belle poitrine bien ferme. Cette femme n’est âgée que de 24 ans après tout. Elle est tout ce qu’on trouvait sur nos revues. Mademoiselle gémit et de douleur, ses seins la faisait souffrir, son tortionnaire les avait particulièrement massacré avec sa cravache. Je me baissais près du visage d’Irène, lui retirant son pull, sa jupe et sa culotte. Je fis de même. Maintenant, on pouvait continuer, d’égale à égale, on n’avait plus rien à cacher de nos corps. Ma queue était tendue et mademoiselle ne pouvait ne pas la voir. Je me glissais dans son dos, baisant délicatement son corps de rêve, plus développé que celui d’Irène, mon amour. Moi derrière, Irène devant, on lui lécha son intimité en massant son corps de nos mains et en quelque minute de ce ...