1. Notre institutrice (2)


    Datte: 14/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... On l’embrassa, on la coucha et on s’aima à trois. Elle nous fit découvrir bien quelque position pour faire l’amour et faire l’AMOUR. Ensuite, on se sépara quand le soleil assombrit notre cachette. khkvvux Au collège, pendant le cours de philo, quelques jours après, Mademoiselle me montra un billet. Elle ne me le donna pas de la main à la main, non, c’est en rentrant de la pause qu’elle le glissa dans ma veste en prenant soin que je la vois faire. Elle fit de même avec Irène. Le mercredi suivant, nous n’avons pas ramassé les journaux et autres vieux papiers. Nous étions une semaine impaire. Selon ses instructions, on s’est caché, entièrement nus. Mademoiselle est arrivée en tout début d’après-midi. Soigneusement, elle retira et plia ses vêtements dans un coin de la grange, mon aimée et moi étions cachés près du vieux char, juste derrière. Mademoiselle savait où on se cachait. La voiture est arrivée, l’homme a posé son sac et le jeu pouvait commencer. Durant toute la séance des sévices de mademoiselle, Irène et moi avons faire l’amour. Prenant notre pied jusqu’à ce que je ne puisse plus bander. Pour faire court, nous avons épuisé les six dernières capotes. Alors, de nos bouches, de nos mains, on a continué jusqu’à ce ...
    ... que l’homme se retire du jeu. Mademoiselle était suspendue par sa poitrine et n’avait pas eu d’orgasme. Pas comme son Maître qui avait joui dans sa bouche à plusieurs reprises avant de la suspendre ainsi. Près de mademoiselle, elle nous supplia de ne pas le décrocher immédiatement. Nous avons doucement écarté ses cuisses et lui avons lessivé son intimité, toute son intimité, oui, même son anus légèrement sale. Nous étions nu, tous les trois. Mademoiselle réussit à prendre son pied à deux reprises avant qu’on ne la délivre délicatement. Ces jeux durèrent deux ans et prirent fin l’année de notre examen final. Avec Mademoiselle, nous avions notre billet d’entrée pour l’université. Durant tout ce temps, Mademoiselle subissait son Maître et nous. Elle fit aussi de nous de amants sachant faire jouir l’autre, des pervers, mais aussi des vicieux, son corps servant à nos supplices qu’on lui imposait contre notre silence. Mademoiselle fut mutée dans une autre école et fut quittée par son Maître sans aucune raison. Irène et moi, on s’est aussi séparé, nos goûts différaient trop, nos études aussi différaient. Elle est partie vers d’autres pays, mais on s’écrit toujours. On se raconte toujours nos aventures, dont celle-ci. Fin 
«123»