1. Notre institutrice (2)


    Datte: 14/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... traitement, Mademoiselle jouissait avec force. On continua encore, je rêvais de lui faire l’amour, moi le puceau de 18 ans. À défaut de prendre la virginité de mon Irène, j’avais une femme qui n’était plus vierge devant moi. Sans lui laisser la moindre chance de nous échapper, on a délivré ses mains pour les mettre plus en avant, courbant son corps à angle droit. Je me suis mis devant son visage et mademoiselle refusa, dans un premier temps. Comme son Maître, je la giflais et durement. Sa bouche s’est ouverte, j’y ai glissé mon sexe tendu et jusqu’au fond de sa bouche. Entre les cuisses de notre prisonnière, Irène était gourmande de sa cyprine. Sentant mon plaisir arrivé, je me suis retiré de cette bouche pour passer derrière. Mademoiselle eut beau protester, vociférer, injurier, nous promettre les pires châtiments, rien n’y fait, je la pénétrais et m’y sentais bien, une fois bien dans son sexe tout humide. J’allais et venais en elle. Irène massait les seins de cette femme prisonnière de ses vices. À vrai dire, je ne sais après combien de temps elle a jouit. Cela fut merveilleux de la voir jouir, de la sentir exploser de bonheur. Je me mis à lui fesser son cul, histoire de jouir plus fort encore. L’effet fut double, Mademoiselle jouit encore et moi avec et en elle. Je restais accrocher à ses hanches un bon moment. Dehors, le soleil déclinait. On finit par délivrer mademoiselle. On lui donna ses vêtements. Elle ne s’habilla pas immédiatement, nous regardant longuement, ne ...
    ... sachant visiblement pas que faire de nous. Et puis, Irène s’est approchée de notre institutrice, elles se sont longuement embrassées. Je m’approchais à mon tour. Mademoiselle me gifla doucement, une caresse plus qu’une baffe. Son baiser sur ma bouche fut merveilleux. Enfin habillé, on s’est séparé, moi et Irène de notre côté et Mademoiselle en direction de son petit appartement. Avant notre séparation, elle nous fit promettre de rien dire. Cela étant, elle n’était pas en position de nous commander quoi que ce soit, nous si. Aussi, on l’invita à venir visiter notre cachette un jour prochain, elle nous promit y venir le mercredi suivant. Le lendemain, au collège, Irène et moi faisions comme d’habitude. Sauf que mon amour me faisait un peu la gueule parce que j’avais joui dans notre professeur. Il me fallait trouver la solution et cette solution ne pouvait nous venir que de mademoiselle. Après la classe, main dans la main, on est resté. Sans prévenir, je lui commandais de nous fournir une boite de préservatif. Elle eut un merveilleux sourire quand de sa main sortant de son sac, elle me tendit une boite neuve de dix capotes. Tu parles si on était pressée, Irène et moi. On se rendit sans perdre une seconde sous la grange et nue, après le récit d’une histoire vicieuse, je fis de mon aimée, l’égale de mademoiselle, une femme à part entière. Je pris sa fleur et en douceur, je pris son cul tout en douceur et là, dans son petit anus, sans capote. Mademoiselle nous rejoint une bonne après. ...