1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (7)


    Datte: 18/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    Il était plus de treize heures. Franck roupillait encore doucement à côté de moi. Ma salive était encore pleine de sperme, un sperme collant, gluant, insistant, dont il est difficile de se débarrasser. Je remarquai que ma douche rapide n’avait pas fait disparaître toutes les traces de jute sur mon corps. En passant ma main sur mon sexe et dans l’entrejambe, je sentis des boulettes de sperme accrochées à mes poils. J’étais cassée de partout. Pour mon premier gang bang, j’avais été bien meurtrie. Mes genoux étaient douloureux, mon cul se ressentait encore de toutes les secousses qu’il avait reçues, ma mâchoire était presque paralysée à force d’avoir avalé tant de bites. Mes bras étaient gourds, tout mon dos, tous mes muscles n’étaient qu’un vaste champ de ruines. Il me faudrait un bon bain bien chaud, mieux, un bon jacuzzi et des massages pour me remettre de tout cela. Pour l’heure, j’avais faim et un bon café ne me ferait certainement pas de mal. M’habiller ? A quoi bon ? Tout le monde m’avait vu à poil... J’enfilai donc juste un petite culotte histoire de ne pas trop manquer de décence. En descendant l’escalier, je vis que la cours était vide. Il ne restait plus aucune voiture que la nôtre et celle de mon beau-frère. Tous les mecs étaient partis, à l’exception de Mus que nous devions ramener avec nous, de Jimmy puisque sa voiture était là et, bien évidemment du propriétaire des lieux, j’ai nommé mon beau-père. Quand j’arrivai dans la cuisine, ils étaient là, tous les trois. ...
    ... Mon beau-père et Mus, torses-nus avec des pyjamas sous lesquels on devinait leur sexe imposant et Jimmy carrément à poil, avachi dans un fauteuil les jambes écartées se tripotant mollement la bite tout en buvant un café. - Salut les garçons, bien dormi ? - Chacun d’eux me salua à sa façon. - Je me mis face au plan de travail, le temps de sortir un mug et de me servir un café. - T’as vu comment qu’elle nous provoque dès le matin comme ça, venir ses gros nibards à l’air ? - C’est clair... et puis sa culotte cache pas grand chose. - Moi c’est simple, elle me fait déjà triquer. - Pour le petit dej, c’est tarte aux poils ? - Tu m’en réserves une part ? Tout cela avait été dit en un rien de temps et je n’avais même pas fini de me servir que, déjà un mec était collé dans mon dos. A la grosseur du ventre, je reconnus aussitôt mon beau-père. Le vieux salaud baissa son froc et appliqua sa queue contre mes fesses et ce n’est pas ma frêle culotte qui m’empêcha de sentir sa queue grossir. - Eh ! Vous pouvez pas me laisser cinq minutes le temps que je déjeune ? On a le temps non ? - Et ma queue, tu la laisses cinq minutes ma queue ?Elle a pas le temps ma queue ! Tu descends à poil comme ça et tu voudrais qu’on te laisse... espèce de petite salope. T’es venue pour te faire fourrer, hein ? Tu veux la resucée d’hier soir ? Et tout en disant cela, il avait glissé une main dans mon slip, il me caressait déjà l’abricot tout en me pétrissant un nichon de l’autre et en déposant de petits baisers ...
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