1. Mon mari m'offre à d'autres mâles. (7)


    Datte: 18/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sur mon dos. - Bon, dis-je en me retournant, tout ce que tu veux du moment que tu me laisses prendre mon café. - A table ! Dit-il. Et il s’agenouilla, baissa mon sous-vêtement et commença à me manger la chatte. Ce retraité libidineux était vraiment un expert. Très rapidement, il me fit jouir du clito , avant même que je termine mon café. Les deux autres obsédés s’étaient rapproché, chacun la queue en l’air pour me prendre la poitrine à pleine main ou à pleine bouche. Ma tasse reposée, il m’allongèrent sur la table dans un fracas de vaisselle bousculée, Raymond prit mes jambes, les souleva en les écartant et me pénétra en commençant par me ramoner lentement. - Ah, y’a pas, même en l’ayant pinée y’a quelques heures, c’est bon d’y revenir. ça ,c’est de la belle-fille. Toi mon cadet, j’espère que tu me ramèneras une petite aussi ouverte. Et il conclut cette saillie par un rire gras. Pendant qu’il coulissait, Mus et Jimmy s’étaient placés chacun de son côté pour se faire masturber. La petite taille de Raymond me permit de reposer mes jambes sur ses épaules en lui encadrant le visage et cela lui libéra les mains qui s’abattirent sur mes mamelles dont il se mit à triturer les tétons, à les pincer à les tirer dans tous les sens. C’était très agréable. - T’aime ma petite chérie ? - Continue vieux porc ! Tu sais y faire va ! - Z"avez vu les jeunes comment que ça se monte une pouliche ? Ils ne répondirent pas. Ils préféraient que je continue de les branler. De temps en temps, ils me ...
    ... pelotaient les nichons de conserve avec Raymond ou venaient me palocher. - Tiens p’pa ! Tu veux pas la prendre en levrette pour qu’elle puisse nous pomper. - Non. J’vais juter comme ça. J’vais la piner tranquille. Tu en fait ce que tu veux après. - On peut au moins se donner le tour ?` - Ouais.. ouais... si tu veux... Alors il quitta mon trou et laissa la place à Jimmy qui au bout de cinq minutes céda le pas à Mus. Chacun y allait d’un rythme différent. Puis décidé à me finir, Raymond se remit debout, bien rivé à mes jambes pour me ramoner à fond. Les deux autres types montèrent sur la table, qui pour se faire pomper le dard qui pour me tripoter les nibards. Il y eut un grincement puis un crac et la table s’effondra. Raymond s’affala sur moi sans que sa bite ne quitte l’orifice. Nous nous retrouvâmes tous dans un débris de tasse cassée de café ou de lait renversé de céréales éparpillées. Seul le pot de confiture d’abricot avait survécu au carnage, intact. Nous nous relevâmes tant bien que mal en rigolant, une fois sûrs que personne n’avait été blessé dans le carnage. Le bruit causé par l’incident avait réveillé mon mari, qui apparut complètement nu étant descendu précipitamment. - Qu’est-ce qui se passe ici. - Tu vois... le bordel que fous ta femme en baisant... un vraie tornade. - C’est l’ouragan Lydie ! - On a juste sauvé la confiture. Reconnaissons tout de mème que tout ceci avait calmé les ardeurs de tout le monde. Nous étions debout devant le désastre sans savoir par où ...