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Mon mari m'offre à d'autres mâles. (7)
Datte: 18/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... commencer. - Bon, ben va falloir ranger les garçons. Dis-je. - On a bien le temps. Moi je n’ai pas déjeuner encore reprit Franck. Qui parlait de confiture ? Jimmy la ramassa et la tendit à son frère. - Tiens... mais il n’y a plus de tartine à moins que tu prennes le risque de ramasser celles qui sont dans les éclats de verre. - Il y a mieux ! Alors, s’approchant de moi, Franck mit ses doigts dans le pot me les plongea dans la chatte qu’il tapissa de confiture puis en reprit pour couvrir mes seins et, une fois encore pour m’en beurrer la raie du cul. - A table, c’est moi qui régale. Nous nous écartâmes du champ de débris puis il se mit à me lécher la vulve en commentant : - C’est trop bon l’abricot ! Son père me bouffait le cul et les deux autres chacun un sein. Quand ils eurent mangé la confiture, Franck se mit debout et me souleva pour m’empaler. Son père l’aida à soutenir mon poids en passant aussi ses bras sous mon jambes dans une manœuvre intéressée, puisqu’il me fourra le trou du cul pour une magnifique double en sandwich. Pour inconfortable que fut la position, ces deux gros vits plantés dans ma chair me comblèrent de bonheur. Quand les deux garçons furent fatigués, ils laissèrent la place aux deux autres. Puis, ayant gagné le canapé du salon, les deux frères s’offrirent une double vaginale, mon mari en dessous et son frère dessus. Il éjacula en premier, se retira, vint se faire nettoyer la bite pendant que Mustafa prenait le relai. Franck prêt à jouir à son tour ...
... demanda de changer de place, juste le temps de mieux faire coulisser son chibre pendant que celui de Mus restait fixe et tendu à l’intérieur. Puis il se retira pour venir juter sur ma bouche. Après la confiture, le lait concentré! Son père m’enfila à son tour. Pendant quelques minutes encore sa queue coulissa contre celle de Mus et contre ma paroi avec violence. Je sentais l’excitation de Mus grandir à la façon dont ses mains s’agitaient sur mes tétons et à la façon dont il m’embrassait de plus en plus sauvagement. Enfin, dans un tonnerre de jurons, ses couilles se vidèrent. Il n’en fallut pas plus pour précipiter la jouissance de mon beau-père dont je sentis la bite pulser à son tour quelques secondes après alors qu’il se vautrait sur moi en gueulant : - Prends ça salope, encaisse, encaisse... Evidemment, ils vinrent aussi se faire essuyer le bout dans ma bouche, Mus ayant même pris la précaution de me plonger les doigts dans le trou pour me faire bouffer le plus de protéines possible. Il nous fallut plusieurs heures pour tout ranger, entre l’orgie de la veille et les dégâts de la journée. Les adieux furent déchirants, mon beau-père et mon beau-frère regrettant de nous voir partir, surtout moi, et nous promettant de recevoir plus souvent leur visite... promesse qu’ils n’auraient pas de mal à tenir pensai-je. Nous reprîmes la route. La plupart du temps nous rentrons directement de Normandie en Ile-de-France sans nous arrêter. Mais là, Franck fit une courte pause le long de la ...