1. Ma colocataire (3)


    Datte: 19/08/2020, Catégories: Lesbienne

    ... également décontenancée ; la jouissance tardait à venir. Alors ma copine se leva, ôta sa chemise de nuit, se mit à genoux. — Tourne-toi vers moi... jambes écartées. Elle accompagna ma rotation ; mon sexe s’ouvrait face à son visage. Je ne bougeais pas, attendant la suite, les yeux fermés, prête à faire tout ce qu’elle demanderait. Comme dans mon fantasme, je sentis ses lèvres se poser sur ma fente, puis sa langue s’insérer à l’intérieur de mon sexe dégoulinant. Je tressaillis quand elle passa sur mon méat. Au bout de quelques instants, elle interrompit la fabuleuse caresse. — Je ne te savais pas si portée sur la chose... tu es toute mouillée ! Regarde : j’en ai plein la figure ! Se relevant, elle pencha son visage vers moi pour que je constate le résultat. Était-ce un reproche ? Non, le petit jeu l’excitait. — À toi, maintenant, fais-moi jouir, dit-elle en montant sur mon lit et se mettant à califourchon au-dessus de mon visage. Magalie me laissa le temps de regarder son sexe. Pour une brune, elle avait une toison peu fournie ; elle coupait sûrement ses poils. Sa fente était bien visible ; elle écarta les lèvres, une goutte de mouille tomba sur ma poitrine. J’étais fascinée par tant de lubricité. xabxtti Elle approcha lentement son sexe de mon visage, me faisant sentir à plein nez son odeur de femme, avec en arrière-plan un imperceptible arôme d’urine. Le contact, très doux, m’excita terriblement. J’ai goûté du bout de ma langue. Ses muqueuses sécrétaient une liqueur qui ...
    ... avait la même saveur que la mienne. De plus en plus excitée, j’ai poursuivi mon exploration. Je n’y voyais plus rien ; aussi, je progressais au jugé, en me référant à ma propre anatomie. Quand j’eus trouvé son méat, je me suis mise à le lécher, en insistant comme si je cherchais à y faire pénétrer la pointe de ma langue. Je venais d’inventer ça, et je me disais que j’aimerais que Magalie me fasse la même chose. Loin d’être indifférente à cette caresse, Magalie soupirait, s’agitait sur mon visage. Je n’en pouvais plus ; tout en la léchant, je me masturbais furieusement, et je suivais la montée de Magalie vers le plaisir. Nous avons joui ensemble. Elle eut plusieurs spasmes, très violents, se dégagea ensuite, s’allongea à côté de moi, splendide d’impudicité. Je me forçais à rester immobile, afin de ne pas rompre le charme, malgré mon envie de la toucher, d’examiner encore son sexe... et puis tout son corps centimètre par centimètre. Quoi qu’elle exige de moi, j’étais prête à le faire. Elle me passa son doigt sur le visage, me l’exhiba, puis me le mit dans la bouche. — Toi aussi, tu as été bien baptisée. C’est bien fait pour toi, tu n’avais qu’à ne pas me faire jouir comme tu l’as fait ! Alors comme ça, ajoute-t-elle sur un ton badin, on se caresse sans le dire à sa colocataire préférée ? — C’est la première fois... — Menteuse, je t’ai entendue hier soir. — Tu t’en es aperçue ? — J’ai l’oreille fine, tu sais. J’attendais ce moment depuis longtemps. J’ai eu envie de toi dès le début. ...