Ma colocataire (3)
Datte: 19/08/2020,
Catégories:
Lesbienne
... C’était pour moi une révélation : jamais, je ne m’en étais doutée. Magalie m’avoua qu’elle non plus n’aurait pas imaginé que je la caresse, la lèche comme je venais de le faire. — Raconte, j’adore les histoires... et toi, en parlant, tu y verras plus clair. J’étais sidérée de m’être autant trompée sur Magalie. Je la croyais aussi coincée que moi, et je découvrais qu’elle abordait sans être gênée des sujets aussi intimes, interdits que le sexe. Je lui ai conté en détail, sans rien lui cacher, ce qui s’était produit la veille. Quand j’en suis venue à la scène dans les toilettes de l’infirmerie, Magalie se caressa aussi naturellement que si elle s’était passé la main dans les cheveux. J’ai poursuivi mon récit sans détacher mon regard du spectacle qu’elle m’offrait. — C’est super ce qui t’es arrivé. Je comprends maintenant comment tu as eu l’idée de me pointer ta langue dans le méat. Tu m’as fait jouir comme une folle. Elle m’a demandé de m’allonger à nouveau en écartant les jambes, et de m’ouvrir le sexe avec les deux index. Docile, je me suis exécutée. — Hum ! Dit-elle. Ces petites lèvres me plaisent, j’ai envie de les dévorer... Tiens, elles ont changé de couleur depuis tout à l’heure, et elles ont gonflé... L’intérieur est ...
... trempé ! Écarte encore plus... Voilà, comme ça, je vois ton vagin et ton méat tout rose... Ne bouge plus. Je tremblais d’excitation. Magalie s’agenouilla, sortit sa langue, posa la pointe sur le minuscule orifice. Ça me fit l’effet d’une décharge électrique. C’était tellement bon, et si inattendu, que j’ai laissé échapper un gémissement. Sa langue se mit à bouger, puis à frétiller. C’était encore meilleur. Je me suis retenue de jouir. Comme si elle avait voulu visser sa langue dans le pertuis, Magalie amorça un mouvement rotatif, qui eut raison de ma résistance. Je fus submergée par une série d’ondes successives de plaisir. Mon ventre était traversé de spasmes, et je n’ai pu m’empêcher de crier. Si Magalie ne s’était retirée, je crois que je lui aurais écrasé la tête entre mes jambes. Elle attendit que je me remette de cet épisode, presque douloureux tant il avait été intense. — Rien qu’avec un tout petit bout de langue ! S’exclama-t-elle. Tu as senti comme tu m’aspergeais quand tu as joui ? J’en ai pris plein. — Je ne me suis rendu compte de rien, sauf que j’étais tendue comme un arc. Magalie montra une tache sur le drap. — Voilà une preuve... plutôt excitante, à vrai dire. Elle s’est levée de son lit pour venir me surprendre.