Il voulait que je le fasse... cocu !
Datte: 21/08/2020,
Catégories:
fhh,
jeunes,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
ecriv_f,
... pensais, je m’imaginais libre de goûter au fruit défendu, les enfants en de bonnes mains, et revenir non pas penaude et coupable, mais accueillie avec reconnaissance et… excitation. Il rêvait de me posséder après mes amants, que je lui raconte tout, et mon imagination se libéra… Ivresse de la liberté de pouvoir fauter ! Je me surpris à regarder les hommes différemment, dans la rue, au bureau. Je vis qu’on me regardait, ce que je ne voyais pas ou refusais de voir auparavant. J’ai pris confiance en moi, je me sentais désirable et désirée, et cela m’excita. Thierry était surexcité quand je lui racontais mes troubles nouveaux. Il avait étrangement introduit en moi un désir que je n’avais pas jusque-là. Alors que j’étais sexuellement comblée au-delà même de mes besoins, un désir qui grandit, me trotta un certain temps dans la tête, puis descendit dans mon bas-ventre. Ma transformation fut lente, je ne m’y attendais pas, mais elle se fit. Il y a quatre mois, j’ai définitivement basculé, non pas avec un de mes collègues proches qui pourrait abuser de la situation, mais avec un nouveau d’un autre service, un beau garçon de vingt ans à peine, à la fois sûr de lui et pour cela attendrissant, et qui me couvait des yeux depuis quelque temps, bien que j’aie douze ans de plus que lui ! Auparavant, je le saluais, sans plus, à la photocopie, au bureau du courrier ou à la caféteria ; j’avais bien vu qu’il cherchait à me plaire, et je lui ai laissé l’occasion de le faire en m’attardant pour ...
... discuter. Bien vite, il a voulu me faire visiter son studio… J’ai alors comblé mon mari en le faisant cocu. Une fin d’après-midi volée, chez lui, deux rapports sexuels d’affilée qui m’ont éreintée, puis mon retour chez nous. Thierry remarqua tout de suite qu’il s’était passé quelque chose. Il était si impatient que j’aie dû insister pour embrasser mes garçons avant qu’il ne me pousse dans notre chambre et nous y enferme. Je lui ai juste dit : — Je t’ai fait cocu. Il a immédiatement passé sa main sous ma jupe, l’a introduite dans ma culotte et a soupiré bruyamment quand il l’a sentie trempée. Mon sexe, mes poils étaient encore inondés de sperme, bien que le plus gros ait été absorbé par la culotte et il passa un temps fou à caresser mon sexe, à le regarder, à le sentir. Puis il me troussa littéralement, me prit avec fougue, toute habillée, me traitant de salope, et j’ai joui violemment. Ses insultes, une nouveauté, m’avaient fouettée, il ne m’avait jamais traitée ainsi. Il les redoubla quand il sut que mon amant n’avait que vingt ans. Mon corps sensibilisé réagit vivement. Jamais je n’avais eu trois rapports en moins de deux heures. Jamais je n’aurais pensé qu’après avoir été comblée, je pouvais être aussi rapidement à nouveau excitée et gourmande, ce qui nous différencie des hommes. Jamais je n’aurais pu imaginer être fêtée par mon mari en rentrant après l’avoir trompé, en lui offrant mon sexe souillé par un autre. Et c’était ce que je vivais ! Le tambourinement des enfants ...