Il voulait que je le fasse... cocu !
Datte: 21/08/2020,
Catégories:
fhh,
jeunes,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
ecriv_f,
... me proposa après la dernière, juste avant que je ne rentre chez moi, d’inviter la prochaine fois plusieurs autres de ses amis, pour me faire connaître, disait-il, la grande extase. Là, c’était trop ! Cela m’a ébranlée. Épuisée, ruisselante de sperme (que je conservais pour mon mari), j’ai pris soudain conscience que, si je ne me ressaisissais pas tout de suite, j’allais glisser sur cette pente dangereuse où je m’étais déjà trop largement engagée. Mon comportement avec eux deux, mon abandon total dans leurs bras puissants risquaient de m’entraîner bien plus loin que de raison, si je revenais chez Damien parmi tous ces hommes, pour une tournante ou quelque chose de ce genre. Je suis rentrée, refroidie. Thierry m’a prise avec sa fougue habituelle, mon corps a mécaniquement réagi, toujours sous le coup de l’embrasement de cette chaude soirée. En ressortant de la salle de bain, je suis allée embrasser les garçons. Là, je me suis promis d’arrêter ce jeu. J’y ai goûté, ce fut délicieux, j’ai même fait l’amour à trois, Thierry est aux petits soins pour moi, il m’adore, mais, désormais c’est trop, surtout après ce que m’a dit Damien. Si je me débauche, je perds tout. Une tournante avec cinq jeunes hommes virils, et qui sait s’il n’y en aurait pas eu plus, ce n’est pas pour moi. J’ai dit le lendemain à ...
... Damien que j’arrêtais notre liaison. Il a immédiatement mis cela sur le compte de son initiative, s’en excusa, se reprit, mais il était trop tard. Il n’insista pas, j’étais gradée… Thierry est déçu, peut-être me lira-t-il ici, mais il ne se rend pas encore compte que c’est pour le garder, lui, que je ne peux continuer à le combler en le faisant cocu, ce fantasme si bizarre. Depuis un mois, je me contente de mon mari que j’aime tant, de son fidèle complice le godemiché, on délire sur mes deux jeunes amants, sur la tournante que j’ai refusée et j’espère que Thierry ne me poussera plus à concrétiser son désir de cocu. Il me comble, cela suffit à mon bonheur. Bien sûr, je ne peux plus croiser un beau jeune homme sans penser à tout cela, mais il faut aussi que je paie le prix pour y avoir trop bien goûté. L’une d’entre vous vit-elle avec un mari ou un compagnon partageant le même étrange fantasme ? Une fois son fantasme satisfait, s’est-il calmé ou, au contraire, en voulait-il toujours plus ? J’espère ne pas avoir pourri mon couple en ayant eu la faiblesse d’exciter ainsi mon mari. Et puis ce trouble désormais devant les jeunes hommes, moi qui en plus suis la mère de deux garçons… preuve que l’on ne ressort pas indemne de ce genre d’expérience. J’espère que cette crise sera vite oubliée. Laurence