Il voulait que je le fasse... cocu !
Datte: 21/08/2020,
Catégories:
fhh,
jeunes,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
ecriv_f,
... contre la porte fermée me tira de ma torpeur et me fit revenir sur terre. J’étais fourbue, mais heureuse. Ma liaison avec Damien, c’est ainsi qu’il s’appelait, me libéra de mes derniers freins. J’étais grisée, excitée en permanence. Il pouvait me demander beaucoup et s’en rendit compte. Il adorait les brunes, disait-il (j’ai les cheveux noirs) et ne cacha pas que le fait que je sois mariée et mère de famille l’excitait encore plus, surtout que, d’après lui, j’avais l’air très sage. Il ne se gêna pas, me prenant parfois dans son petit bureau à l’heure de midi, ou m’entraînant dans les archives où il me possédait à quatre pattes, quelquefois debout, moi, la mère de famille fidèle qui, il n’y avait pas si longtemps, jugeait mal les quelques femmes du bureau que l’on voyait y disparaître avec tel ou tel collègue masculin… Nous n’étions pas fous, et on avait besoin tout deux de discrétion, lui était à l’essai, moi avec une situation plutôt en vue. Mais on y fit l’amour souvent, c’était rapide, mais ardent. J’ai même dû recourir au protège-slip, moi qui n’aime pas ces trucs gênants, car mon sexe était inondé et mes culottes à tordre. Quand je rentrais, Thierry me fêtait comme toujours, j’étais aux anges. Il me traitait de salope, ce qui m’excitait, je dois reconnaître que ce mot qui, auparavant m’aurait choquée, m’excitait, comme l’excitait, lui, le mot cocu. Thierry voua une sorte de culte à mon sexe souillé, cela le rendait fou de le voir et le toucher totalement englué. Quand ...
... Damien sut que mon mari était permissif, ce que je n’aurais jamais dû lui dire, il m’invita le soir, chez lui. Célibataire, il était libre et, comme mon mari m’offrait ma liberté, je m’en suis servie, l’y retrouvant deux fois par semaine durant six semaines. Je n’ai jamais sacrifié ni un mercredi, dédié à mes enfants, ni le week-end. Je suis restée raisonnablement… infidèle. Dans son appartement, Damien me surprit un soir, il y a un mois et demi, en me recevant accompagné par un ami à lui. J’avoue avoir été très gênée, un peu bloquée même, mais il a su par ses caresses me faire accepter son ami Rachid, un jeune beur athlétique et beau comme un dieu et, pour la première fois de ma vie, je me suis retrouvée nue au lit entre deux hommes. Ils m’ont prise tour à tour, chacun deux fois, et j’ai eu des orgasmes à répétition. Si Damien était honnêtement actif, Rachid se montrait aussi viril que mon mari, avec un sexe encore plus gros qui me remplissait totalement et délicieusement. Plus ils me prenaient, plus j’en avais envie. Je crois que dans le feu de l’action, ils auraient pu me faire faire n’importe quoi tant j’étais animale. Cela ne m’était jamais arrivée de franchir cette limite. Avec le recul, le pire aurait pu m’arriver, mais j’étais électrisée, véritablement en chaleur, une salope, comme aurait dit mon mari. Thierry était fou quand je le lui ai dit en rentrant, si excité qu’il m’a prise à son tour deux fois. Je n’ai renouvelé que trois fois cette folle expérience, car Damien ...