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Une soirée trop arrosée (1)
Datte: 23/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... finirai bien par savoir mais je préfère que ce soit vous qui me disiez quelle genre de conneries je ou nous avons bien pu faire ! - C’est que J’ai voulu lui attraper le bras pour la forcer à s’approcher. Ce faisant, j’ai fait glisser drap et couverture sur le côté provoquant une situation à laquelle je ne m’attendais pas ! - Gilles, s’il vous plaît, couvrez-vous ! - Oh m…. ! Pardon ! Je ne savais pas ! J’ai attrapé le drap furtivement pour dissimuler ma nudité à mon interlocutrice. Bien qu’elle ait fait tout ce qu’il faut pour paraître incommodée par mon corps entièrement nu, j’ai remarqué comme une lueur amusée dans son regard. Du coup, ça s’est mis à tourner dans ma tête. Qu’avait-il bien pu se passer entre le moment où j’étais sorti du refuge avec la bande que nous formions, huit gaillards résolument décidés à faire la fête au village, et l’instant présent où je suis bien obligé de constater que je me suis entièrement déshabillé dans mon lit ? - Je crois que je vais vous laisser ! - CERTAINEMENT PAS !!! Cette fois, drapé et parfaitement convenable, j’ai pu prendre le bras de la jeune fille et la forcer à s’asseoir sur le lit, ce que j’ai fait d’une manière non pas brutale mais ferme. - Maintenant, vous allez me dire tout ce que vous savez… et sans rien omettre ! Je pouvais enfin la voir de près. En réalité, cette nana n’avait pas plus de 18 voir 20 ans. Elle n’était ni belle, ni moche mais elle avait un petit quelque chose de coquin dans l"expression de son visage qui la ...
... rendait séduisante. Mais à présent, l’expression mutine avait disparue. Je crois même qu’elle n’était pas loin de pleurer. - Vous savez, moi je ne voulais pas ! C’est de leur faute à eux. Après ce qu’ils vous avaient déjà fait - et je n’ai pas tout vu !-, ils ont voulu que j’en sois aussi ! - Mais de quoi parlez-vous, à la fin ! Allez-vous vous décider à parler où faut-il que je me fâche ? - Puisque vous y tenez tant, je vais tout vous dire mais, par pitié, croyez-moi ! Ils m’ont forcée. Je me suis réinstallé sur mon lit en remontant bien drap et couverture sur mon corps dénudé, appuyé sur la tête de lit. Plus intrigué qu’inquiet, j’étais prêt à tout entendre, quoique mes copains aient pu commettre. -Je suis tout ouïe ! Parlez et ne craignez rien ! Quoiqu’il se soit passé, ça ne doit pas être si grave que ça ! Il n’y a pas eu mort d’homme, que je sache ? - Pour ma part, je ne suis pas d’accord avec vous. En ce qui vous concerne, c’est vous qui en jugerez ! Alors voilà : D’une petite voix hésitante, la demoiselle commença un récit qui, au fur et à mesure, me fit dresser les cheveux sur la tête - et pas que les cheveux ! - Vous vous souvenez certainement être descendu au village, vous et toute votre bande. C’est normal. A cette heure là, vous aviez encore les yeux en face des trous ! - Oh ! Ça va ! Continuez ! - Je ne dis pas cela sans raison. Vous comprendrez tout à l’heure ! Je poursuis ! - Quand ma mère vous a vu débarquer, de crainte que vous fassiez fuir les autres clients, ...