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Une soirée trop arrosée (1)
Datte: 23/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... réjouissances. C’est à ce moment qu’un des gars a dit : "Et si la petite nous donnait un coup de main !" Vous vous doutez bien que personne n’a protesté ! Je n’ai pas eu d’autre choix que de faire ce qu’ils m’ont ordonné. Je suis bien sûre que vous avez une petite idée là-dessus ? - Non ! Pas la moindre ! Ai-je dit d’un air aussi innocent que possible. - Ou bien vous êtes un grand naïf ou un bel hypocrite ! - OK ! Je crois avoir deviné ! Je suis très sincèrement désolé ! - S’il n’y avait eu que cela ! J’étais devenue le centre d’intérêt ! Ils se sont détournés de vous pour un temps. Installée en bout de table, entre vos jambes repliées, la tête maintenue toujours par votre ami le rouquin il m’a bien fallu procéder, encouragée, conseillée, stimulée comme vous pouvez vous en douter par tous vos camarades. -"Fais ça bien sinon gare à toi !" - "Vas-y ! A fond ! Tu vas l’avoir !" - Et j’en passe, et des plus dégoûtante, croyez-moi ! - Alors, dis-je, inévitablement, j’ai fini par jouir dans votre bouche ? - Oui, forcement ! Le rouquin s’est bien arrangé pour que je ne puisse pas m’y soustraire ! - Je vous demande pardon. - Oh ! C’est pas si grave ! Je n’en suis pas à une pipe près ! La nuit ne faisait que commencer ! - A oui ? Elle n’en avait pas l’air comme ça. J’aurais plutôt pensé qu’elle était encore vierge. - Vous voyez la position dans laquelle ils m’avaient mise ? - Oui ! Il me semble pouvoir l’imaginer assez justement. Irrésistiblement, je sentais monter en moi une ...
... onde de chaleur qui se manifestait tout naturellement par une érection de moins en moins aisée à dissimuler sous les draps - Que croyez-vous qu’ils ont eu l’idée de faire, je vous le demande ? - Je n’ose y penser ! - Et pourtant ! Ils n’ont pas été longs pour me tripoter sous ma jupe, pas beaucoup plus longs non plus pour baisser ma culotte et me l’enlever. Ma jupe a suivi puis ça a été le tour de mon corsage et enfin de mon soutien-gorge. Et me voilà aussi nue que vous étiez vous même, presque allongée sur vous en train d’essayer de vous faire jouir une deuxième fois à la demande générale. J’ai été soulevée puis reposée mais cette fois dans l’autre sens, vous imaginez comment. - Sur le dos ? - Mais non voyons, en 69 ! Vous êtes pas très imaginatif ! - Ah oui, pardon ! - Après des caresses et une bonne fessée, ils sont tous venus, l’un après l’autre pour me prendre, tantôt comme on le fait normalement, tantôt, en empruntant une voie réservée à tout autre chose, si vous me comprenez ! Pendant ce temps là, il fallait que je continue ce que j’avais commencé avec vous et jusqu’à ce que j’obtienne satisfaction ! Et puis ils vous ont descendu, posé sur les genoux sur un fauteuil. Vous avez eu droit au même traitement que moi, à ceci près qu’il n’avaient pas le choix comme pour moi de l’endroit où ils pouvaient enfiler leur engin mais occupée comme je l’étais, je n’étais plus en mesure de voir qui s’occupait de vous sodomiser. Assez longtemps après, c’est moi qui a pris votre place. ...