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Une soirée trop arrosée (1)
Datte: 23/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... elle vous a ouvert l’autre salle, celle que nous utilisons les jours où nous avons beaucoup de clients. C’est une petite salle, un peu à l’écart. Vous pouviez ainsi faire autant de chahut que vous le vouliez sans incommoder les clients du restaurant. - Ça y est ! J’ai enfin compris qui vous êtes. Je savais bien que je vous connaissais mais je ne parvenais pas à me remémorer où je vous avais connue ! - Elle est bonne celle-là ! Depuis tout à l’heure, vous ne saviez pas qui j’étais ? - Ben non ! Maintenant si, bien sûr ! Je n’ai pas encore bien récupéré, semble-t-il. - Je vois ça ! Donc, vous vous êtes installés et vous avez commandé une caisse de bière, directement ! Moi, j’ai vu cela de loin. Je servais dans la grande salle. Le temps a passé, les clients sont partis les uns après les autres. Il n’est plus resté que vous. Maman vous avait apporté de quoi vous restaurer et surtout de quoi boire ! Il était près de minuit quand elle m’a dit qu’elle allait se coucher. Je terminais de nettoyer la salle, de ranger les tables et les chaises. Moi aussi, j’avais grande envie d’aller dormir. Seulement, j’ai eu la malencontreuse idée de venir voir si vous aviez besoin de quelque chose. Quand j’ai poussé la porte, je n’ai pas compris immédiatement ce que vous faisiez tous autour de la table. Enfin, quand je dis tous, c’est tous sauf vous que je n’ai pas vu tant que je suis restée sur le pas de la porte. J’ai juste été surprise de voir que certains d’entre vous n’avaient plus grand ...
... chose sur le dos… ni ailleurs, si vous voyez ce que je veux dire ! Quand j’ai compris, il était trop tard ! Un de vos copains, le grand rouquin, m’avait saisi le bras pour m’empêcher de me sauver. Pourtant, c’est bien ce que je voulais faire, croyez-moi ! Sur la table, c’était vous qui étiez allongé, comme vous êtes là, tout nu ! - Ah ouais !!! Je vois ! Dis-je en serrant un peu plus le drap sur moi. - Oh non ! Vous ne voyez rien du tout !!! A part deux ou trois qui n’avaient pas encore baissé leur culotte, tous vos copains étaient comme vous, à poils. Vous, vous Oh mon Dieu, qu’est-ce que vous me faites dire vous, vous les suciez quand ils vous mettaient leur sexe devant la bouche. Ça n’avait pas l’air de vous gêner beaucoup ! Vous rigoliez. Vous alliez même au-devant de leur désir. Parfois, vous vous saisissiez du… de… enfin, vous voyez, et c’est vous qui le portiez à votre bouche. Je suis restée là, ne sachant pas où porter le regard, toujours tenue par votre ami le rouquin qui m’incitait lourdement à profiter du spectacle. Il arrivait forcement qu’à un moment, à force de se branler où que vous le suciez, un de vos potes jouisse. Il s’arrangeait alors pour que vous avaliez son sperme en demandant, quand il le fallait, qu’un autre vous tienne la tête ou vous ouvre la bouche en grand. - Les salauds !!! - Le rouquin m’a traînée jusqu’à la table pour que je regarde de plus près. Inutile de précisez que vos camarades ont trouvés l’idée géniale de me faire participer à vos ...