1. Maître et ami


    Datte: 23/08/2020, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... sondait. Il voulait éprouver ma situation affective. Notamment si j'avais encore un reste d'amour pour son ami. Ma faute fut ce jour-là d'entrer dans ses vues et de me confier. J'en avais fort envie. Il y avait comme un trop plein. J’avais besoin d'un tiers voire d'un esprit impartial pour faire le point en moi. Cet homme crus-je m'en offrait l’occasion.Le roué savait parfaitement s'adapter. Je le crus sincère, ému. Je m'ouvris à lui comme à un ami. Ses avis, ses observations, ses conseils parurent tous pertinents et frappés du bon sens. Surtout il m'abjurait de ne sombrer dans une culpabilité odieuse qui témoignerait surtout que j'étais restée orgueilleuse et dure à moi-même. Mon bonheur à venir et pour une époque importante était condition de cela. Je devais me pardonner et m'ouvrir à la joie. Il écartait l'hypothèse que mon temps fut passé. Je devais profiter au contraire du faîte de ma beauté.Ce dernier compliment du m'alerter. Un libertin ne s'exprime pas autrement. En fait le venin à cet instant était fort avancé. Je fus moi-même étonnée que je pus être sensible à pareille musique. Une part de moi et que j'avais ignoré choisit de tomber dans le panneau. Je trouvais délectable ce langage de miel, doux et délicieux à l'oreille. Je compris avec horreur qu'une part diabolique des sens m'avait toujours attiré. Seul cela expliquait mon rigorisme et mon surinvestissement dans le travail. J'avais fui en celui-ci l'armée des tentations.Mon interlocuteur trop avisé dut percevoir ...
    ... qu'un bout de la digue cédait. Il réprima le geste d'en trop vite profiter. Il fit mine au contraire de dire que j'avais raison de faire le deuil de l'amour et des hommes. Que je devais me trouver un loisir et une compagnie où je pus rencontrer apaisement et sérénité. Il accrédita mon projet de prendre une année sabbatique pour aller à l'étranger m'occuper d'entreprises caritatives. Il fit mine de goûter mes principes bouddhistes. En fait il n'avait que mépris pour cela. Le loup n'avait rien de l'agneau.Il me dit qu'il connaissait une amie qui avait eu cette expérience de voyager un an en Indonésie pour aider les pauvres. Il insista pour que je la rencontras. Je ne vis en cette personne qu'une vieille folle dont éclatait de partout le geste mythomane. Je m'y vis comme dans un miroir ridicule. Le coquin voulait cette démonstration pour me mener là où il voudrait. Je fis mine d'être contente de la folle. Je lui dis que cependant je devais réfléchir avant de me jeter dans l'aventure. En fait je sus de ce jour que de la sainteté au démon il n'y avait qu'un pas.Tout cela ouvrit à la seconde séquence autrement plus terrible. Après le couvent on m'intronisa au boudoir. Le coquin pour célébrer la fin de notre séminaire m'invita à dîner. Je savais mon mari en province. Aussi ne fus-je pas peu surprise d’apprendre de mon nouvel ami qu'il n'en était rien et que ce mari se trouvait à être à cinq pas du restaurant chez l’une de ses maîtresses. Atterrée je demandais pourquoi me faire cette ...
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