Samuel et Stéviana
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
hh,
couleurs,
prost,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
... de m’avoir poussée sur le trottoir… trois ans que je n’ai pas vu son visage. Alors je pleure, mais pas seulement pour ça : aussi parce que je n’en vois pas la fin, parce que je ne parviens pas à économiser assez pour la ramener vers moi, parce que je ne veux pas qu’elle soit poussée aussi à faire la même bêtise que moi ! Et c’est bon de ne pas se dire que l’homme qui vous tient n’attend que du sexe de vous, uniquement parce que vous êtes payée pour ça. Alors j’éloigne ma tête de ses muscles et je le regarde, les yeux baignés de larmes, le cœur rempli de peurs. Je lui demande (oh ! comme je hais de ne pouvoir le lui formuler plus… humainement !) : — Sida ? Visiblement, il n’aime pas me voir pleurer : ça rend ses yeux tout humides aussi. Mais il me fait "non" de la tête, et comme je ne l’ai pas non plus, je me laisse glisser le long de son corps. Je vous ai dit qu’il ne me retenait pas vraiment contre lui, et il ne le fait pas plus quand je m’agenouille, que je glisse sa queue toute molle entre mes dix doigts, et que je la prends dans ma bouche, là, à presque cinq mètres du lit. Je le regarde, en "machouillant gentiment" sa queue qui n’est plus tout à fait molle. Il secoue la tête, les yeux un peu désespérés, mais ne me retient pas plus. Les sexes circoncis, je connais déjà et j’aime sentir son gland directement sur ma langue, sans qu’un quelconque prépuce ne gêne la caresse. Je sais qu’il va aller loin, au fond de ma gorge, peut-être provoquer un réflexe de haut-le-cœur, mais ...
... je la laisse glisser quand même, en "allumant" mon regard toujours rivé à ses yeux plus vraiment ouverts, un peu fous. Et, quand je la laisse ressortir, je dois écarter les mâchoires, pour que mes dents ne le blessent pas. Je regarde son sexe, couvert de ma salive, luire dans la semi-obscurité des soixante watts de l’ampoule nue du plafond, et je ne peux empêcher ma langue d’aller le lécher, comme si elle l’avait décidé d’elle-même. Maintenant je la pompe, prisonnière de mes lèvres, de plus en plus vite : je VEUX sa semence, je l’avalerai… je le boirai, lui. Et tant pis si une pute ne doit pas faire ça ! Et tant pis… si je tombe amoureuse de lui, parce que ça n’a plus d’importance… parce que je sais que c’est inutile, illusoire de croire que, ma sœur, je la reverrai un jour ! Et quand j’accueille son orgasme au fond de ma gorge, je l’accompagne, le fête, le prolonge… Je le rends vraiment fou parce que je ne le reverrai probablement plus jamais. L’instinct seul m’a poussée à agir ainsi, parce que pour ma clarté d’esprit… elle est morte quand je me suis laissée glisser à ses pieds comme une vulgaire esclave qui quémanderait la clémence de son maître. Et je pleure à nouveau. De toute façon, je n’avais pas vraiment cessé de pleurer pendant la fellation. Je pleure parce que tout cela est vrai : ma sœur, jamais je ne la reverrai… Je suis seule, toute seule dans un pays inconnu, sans aucun ami… Le mien, de pays, m’est tellement interdit qu’il est carrément sur une autre planète… Je ...