1. Samuel et Stéviana


    Datte: 24/08/2020, Catégories: hh, couleurs, prost, grossexe, anniversai, amour, volupté, Transexuels Oral hdanus, hsodo,

    ... me Can’t you see Everything I hope for You’re everything I need… Je ne sais pas s’il a chanté ça pour moi, ou si ça lui est venu comme ça, mais quelle importance ? Il chante bien, et ces mots-là je les comprends. Et je suis heureuse, comme a pu l’être celle pour qui Louis a chanté. Parce que ne vous y trompez pas : toute femme rêve un jour d’entendre ces mots prononcés par quelqu’un qui l’aime, elle, d’une voix aussi sincère. Et si l’une d’entre elle vous dit que ce n’est pas vrai… elle ment. Vous devez vous dire que ce n’est pas très plausible, une pute qui tombe amoureuse d’un client, hein ? Ne mentez pas, je le sais ! Mais je vous rassure tout de suite : ce n’est pas ça. Il y a plusieurs raisons à mon comportement : toutes les "premières fois" de ce soir m’ont conduite à agir, presque "malgré moi", comme je l’ai fait. Ensuite, j’ai craqué, et ça, c’est arrivé je ne sais comment. Peut-être à cause de son comportement à lui, ce qui me conduit à la troisième raison. Je ne sais pas non plus si je pourrais agir autrement… parce que ce n’est pas moi qui "conduis", c’est lui. Il a décidé presque tout seul que ce serait trois heures, m’a arrêtée quand j’ai voulu lui faire un strip-tease, m’a prise dans ses bras. Bon, j’vais pas vous refaire le film, mais il a presque tout fait tout seul, non ? Mais le plus important, c’est qu’à chaque fois il m’a laissé le choix. Et maintenant, je l’ai encore, de rester comme ça, de profiter de son giron, de son réconfort, sans me soucier du ...
    ... temps qui tourne parce qu’il m’a payée pour du sexe. Il a l’air de s’en ficher, lui, alors qu’il suffirait qu’il regarde son bracelet-montre posé sur la table basse. Moi aussi, je m’en fiche un petit peu, des minutes qui s’égrènent, mais, pour être tout à fait honnête avec vous, c’est bien moi qui lui demande de m’embrasser encore. C’est encore moi qui, pendant le baiser, roule sur le dos et l’entraîne avec moi, l’accueille entre mes cuisses ouvertes, frotte nos verges l’une à l’autre. C’est moi qui l’étreins en gémissant, moi qui me fais un abri dans lequel rien ne pourra m’atteindre, avec sa masse. Moi qui lèche sa langue, ses lèvres, son visage. Je pleure un petit peu, mais rien que pour moi. J’ai décidé que ça serait un moment pour moi, comme une égoïste… mais j’ai le droit, n’est-ce pas ? Oubliés, les trois mille francs au fond de ma petite caisse. J’ai envie de lui. Je sais qu’il me fera l’amour, lui ! Il ne se contentera pas de m’enculer en ne pensant qu’à lui-même. Alors, avec mes mains, je caresse son dos et vais chercher son cul, en écarte les globes pour taquiner un moment son anus, passer un doigt autour de la corolle, aller le fouiller d’une phalange. Il a l’air d’aimer, parce que son baiser se fait plus "cochon", et il gémit un peu, dans ma bouche. Mes deux mains font le tour de son bassin en le caressant et, après avoir creusé le ventre, je les faufile entre nous. Il m’aide un peu en se décollant de moi, mais il continue de m’embrasser. Appuyé sur les coudes, il ...
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