Samuel et Stéviana
Datte: 24/08/2020,
Catégories:
hh,
couleurs,
prost,
grossexe,
anniversai,
amour,
volupté,
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
... peut laisser ses mains caresser mes tempes, mes longs cheveux, mes joues. Sa verge, contre la mienne, a retrouvé toute sa superbe. Je les prends toutes deux entre mes dix doigts et les masturbe ensemble un court instant, avant de le pousser, mais gentiment, à descendre un peu. Je regrette un peu qu’il doive arrêter de m’embrasser, mais maintenant je le veux en moi. Je n’en peux plus d’attente. Je veux qu’il me prenne comme ça, à la missionnaire, parce que c’est comme ça qu’un amoureux aime sa fiancée. Je sais que je n’aurai pas mal, parce que je suis déjà ouverte pour lui. Je suis prête parce que je n’ai jamais espéré quelqu’un comme je l’attends, lui ! Mes lèvres, mes yeux, les ailes de mon nez qui palpitent, tout cela l’appelle tellement qu’il ne peut faire autrement que de remonter. Le feulement d’une lionne accueillant l’assaut de son roi, répond à la pénétration, et meurt dans sa bouche. Et oui, je n’ai pas mal. Je commence à ressentir LA sensation alors qu’il n’est même pas enfoncé complètement en moi. Déjà, je ne peux m’empêcher de crier, alors qu’il commence à peine à aller et venir en moi, sans attendre que sa queue soit entièrement en moi. Oh ! comme je l’aime, d’avoir compris que c’était maintenant, tout de suite. Que ça n’allait pas durer. Je ne sens la dureté de mon pénis que lorsqu’il le prend dans une main. C’est un magicien, mon homme ! Comment peut-il me masturber aussi tendrement, et me besogner comme il le fait en même temps ? C’est moi qui pousse mon ...
... corps contre sa bite pour qu’il me prenne à fond, parce que je sens que ça s’allume de partout, en moi. Jamais les murs de cette chambre n’avaient contenu mes cris de jouissance à moi. Encore un "truc" à classer dans les premières ! Dans un absurde éclair de lucidité, je me rends compte que je ne connais pas son nom, parce que je voudrais le crier maintenant. Je voudrais lui crier que je l’aime, pour tout ce que je ne connaissais pas de moi, et qu’il est en train de me révéler. J’ai explosé bien avant que lui ne le fasse, mais il me rejoint bien vite. Moi, de toute façon, je vois encore des étoiles danser dans ma tête, quand son sperme se répand en moi, tandis qu’il coulisse encore une ou deux fois dans ce conduit qui, je le sais maintenant, a été fait pour lui. Que tous les clients ont préparé pour sa venue à lui… pour qu’il me fête comme il l’a fait ce soir ! Je me suis endormie. Et quand je me suis réveillée, en plein milieu de la nuit, il n’était plus là. Je n’ai pas pleuré, parce que j’étais furieuse contre moi ! Mais qu’est-ce qui m’avait pris ? Je m’étais laissée aller à croire que ça avait été de l’amour ? ÇA ? Alors qu’il n’avait fait que payer une pute ! J’avais été folle, oui ! Et puis quoi d’autre encore ? Revenir le lendemain, m’arracher à cet enfer à bord d’une limousine blanche, comme dans "Pretty Woman"… M’épouser ? Mais reprends-toi, espèce de connasse ! T’es qu’un mec qui se prend pour une femme… une pute, de surcroît ! Ah ça oui, j’étais vraiment furieuse… mais ...