1. Samuel et Stéviana


    Datte: 24/08/2020, Catégories: hh, couleurs, prost, grossexe, anniversai, amour, volupté, Transexuels Oral hdanus, hsodo,

    ... étourdie… autre chose : il n’a pas arrêté de me parler. Il m’a littéralement saoulée de phrases dont il détachait chaque mot de celui qui le suivait, s’emportant parfois, mais revenant à une diction plus soignée, plus articulée. J’en ai reconnu certains, pour les avoir déjà prononcés, mais j’ai rien compris quand même ! J’ai eu l’occasion de vérifier ma théorie selon laquelle je devais montrer que j’en avais envie, pour qu’il "ose" m’aimer. Et c’est exactement ça qui s’est produit. Cela s’est passé dans la pièce suivante après le salon dans lequel nous avions dîné. Il m’y a conduite, toujours en me tenant par la main. Il m’y a fait entrer et a réglé la lumière en tournant un bouton contre le mur. Ce que je pouvais voir de la pièce m’a poussée à augmenter l’intensité d’éclairage. Elle était IMMENSE ! C’était une bibliothèque : un nombre faramineux de livres couvrait deux pans de la pièce, en angle. Devant les étagères, deux canapés, un blanc et un noir, se faisaient face, séparés par une table basse posée sur un tapis. Et en même temps, c’était… un lieu à vivre, ou à se détendre… je ne sais pas comment l’appeler : un billard trônait au centre de la partie droite de la salle. Y avait pas de trou dans la table. Un bar formait l’angle opposé à la bibliothèque. Avec tabourets… et tout l’toutim ! C’est moi, maintenant, qui me demandais ce que je faisais là ! Mais il m’a tendu la main, ainsi qu’un petit sourire. J’ai glissé ma main dans la sienne après avoir tamisé la lumière, et ...
    ... il m’a entraînée vers le canapé blanc. Il m’a invitée à m’y asseoir et j’ai à peine osé poser mes fesses dessus. Lui s’est assis aussi, mais à une distance "respectable" de moi. Il n’avait pas lâché ma main, et je n’en avais pas envie non plus. Il a recommencé à parler et je me suis dit : "Ma fille, si tu ne l’arrêtes pas maintenant, tu ne le pourras plus !" J’avais trop envie de lui. Deux semaines que je n’avais pas senti ses lèvres sur moi, ni ses mains. Il m’avait manqué à un tel point… je m’en rendais compte maintenant : parce que pas une fois il n’avait quitté mes pensées, même pendant que d’autres faisaient ce pour quoi ils m’avaient payée. J’en aurais pleuré, tellement je le désirais ! Oubliés mon métier, ma vie, ma sœur ! Oublié le lieu où je me trouvais : je ne voyais que lui. Lui avec ses lèvres qui remuaient sur des sons que je n’entendais même pas. Des expirations que je voulais boire… une bouche que je voulais dévorer ! Alors j’ai laissé glisser mes fesses sur le cuir, vers lui, puis j’ai posé ma main sur ses lèvres, pour qu’il se taise. Ça commençait à couler. Il m’a regardée et j’ai juste secoué la tête. Il a semblé émerger tout à coup… et il a compris. Il a ouvert la bouche mais n’a pu prononcer une parole de plus, parce que y en avait marre là ! Et s’il fallait que je le viole, je le ferais ! Je me suis jetée sur lui et lui ai fait ravaler les paroles qu’il avait préparées. Des gémissements et des grognements s’échappaient de ma gorge. J’ai déchiré sa chemise ...
«12...171819...24»