1. Samuel et Stéviana


    Datte: 24/08/2020, Catégories: hh, couleurs, prost, grossexe, anniversai, amour, volupté, Transexuels Oral hdanus, hsodo,

    ... de l’eau. C’était un "méchant livre", qui m’a tiré des gouttes de sueur grosses comme le pouce, au moins. Dans le temps qui nous restait, on a pu en lire à peine quatre pages, et encore ! Il est parti, mais avant il m’a dit quelque chose : "Samuel… France, et Stéviana ?" m’a-t-il demandé, en insistant sur la question. Quand j’ai enfin compris, je lui ai répondu : "Brazil". Il m’a fait une autre bise légère sur la joue droite, et m’a dit : "Au revoir", en me caressant la joue gauche et en me souriant. Plus tard, seule dans mon lit, je me suis demandé pourquoi il n’avait pas voulu coucher avec moi ? Se pouvait-il qu’il ne "m’aime" plus ? Et puis, je me suis dit : "Toi non plus, ma fille… tu n’as rien fait pour !" Se pouvait-il que ce soit si simple que ça ? Je me suis promis de le vérifier dès la prochaine fois. Mais le jeudi suivant, une semaine plus tard, il est arrivé en voiture, est descendu du véhicule, en a fait le tour, m’a invitée à y prendre place, et est retourné s’asseoir côté conducteur. Là, il a pris un gros livre sur le tableau de bord et l’a ouvert au mot "anniversaire". C’est le premier mot de votre langue que j’ai compris, parce que la traduction du mot suivait, en portugais, ainsi qu’une petite définition. Puis il a tapoté son thorax. Je l’ai vu chercher un autre mot, ensuite, et il a caressé ma joue, puis m’a montré du doigt ce qu’il avait trouvé : "invitée". Le dictionnaire était vraiment complet : les verbes à l’infinitif étaient suivis de leur participe ...
    ... passé, et de leurs variations. Et j’ai compris qu’il allait m’emmener, pour ce soir. Que j’étais son invitée. Il m’a conduite chez lui et, passée la porte d’entrée, je n’ai plus pu faire un pas : son hall était plus grand que ma chambre ! Ça avait l’air de l’amuser, que j’ouvre de grands yeux devant l’enfilade du couloir qui s’étendait en face de moi. Il faisait au moins trente mètres de long… sans exagérer ! De nombreuses portes s’ouvraient sur de mystérieuses pièces qui, je m’en doutais, devaient être encore plus grandes que ce hall. Il a eu un petit rire, m’a pris la main et m’a entraînée à sa suite en direction de la première pièce sur notre droite. Il était inutile que j’espère pouvoir la mesurer : elle était plongée dans la pénombre. Seul un coin d’une grande table était éclairé par de nombreuses bougies. Deux couverts étaient mis, avec tout le nécessaire : des fourchettes que je n’avais jamais vues se disputaient la place avec des verres tout aussi… "incongrus" : ben oui : on allait être combien à s’asseoir dans ces fauteuils ? Y en avait beaucoup trop ! Et je ne vous parle même pas des couteaux… des cuillères, petites et grandes ! Je vous passe le repas, en vous disant juste que je ne sais pas ce que j’ai mangé… mais c’était bon ! Un peu trop riche pour moi, qui n’étais pas habituée, mais succulent. Ah oui, encore une chose : c’est Samuel qui a fait le service, en transférant les assiettes à travers un passe-plat qui devait mener à une cuisine invisible… Mais, suis-je ...
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