1. Ce que le progrès rend possible


    Datte: 24/08/2020, Catégories: fh, ff, cocus, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sf,

    ... garçon semble me voir et me fait un clin d’œil. Je vais les suivre, mais décide de voir si les deux autres montent aussi. Non, ils bavardent avec deux filles. Je me lève, franchis la porte. Personne. Cette fois, pas de caresses dans l’escalier. Je les gravis. Dans le couloir, beaucoup de portes sont fermées. Merde ! Dans quelle pièce sont-ils ? Et puis je les retrouve. Petite pièce circulaire avec un grand lit au centre et des sièges contre les cloisons. Ici, pas de mur-écrans. Du tissu partout. Rose et ViolaFleur sont près du lit. Elles s’embrassent. Dans un canapé, l’homme et la femme. Lorsqu’il me voit arriver, l’homme se pousse, invitant son amie à faire de même et me fait le geste qu’une place est libre. Bien d’autres sièges sont vides, mais je ne refuse pas l’invitation. Me voici à côté d’eux, la fille à ma droite. Les femmes semblent avoir passé à la vitesse supérieure, et maintenant, dans l’intimité toute relative de cette pièce, elles affichent une vraie envie de dépasser le stade des baisers. Comme un couple mixte, chacune se charge de déshabiller l’autre. Pourtant c’est plus délicat, presque naturel, si ce n’est que les lèvres suivent parfois des chemins inattendus. Je connais ma femme. Je découvre Rose – enfin, je veux dire Fleur, mon assistante. La blouse ne mentait pas. Un instant j’ai peur que le visage factice tranche sur la peau naturellement cuivrée du reste du corps. Mais non, elle ou son esthéticienne ont paré à ce problème. Les seins sont petits mais les ...
    ... aréoles très marquées. Manifestement, ViolaFleur apprécie sa découverte. Comment la chimère de Fleur, à travers les yeux de Viola, ne remarque-t-elle pas l’étrangeté de la situation ? Elles sont nues. Elles s’embrassent. Elles se caressent. Lorsque leurs mains en laissent la place, les deux corps se serrent, les seins s’exacerbent, les pubis se frottent. Rose monte la première sur le lit, assise, jambes repliées mais ouvertes. ViolaFleur la suit. A côté de moi, mes voisins ne sont pas insensibles à ce que nous voyons. Eux aussi se caressent. Il y a longtemps que la main de la femme s’est glissée dans le pantalon pour caresser un vit que j’imagine déployé. Maintenant, si je poussais mon épaule, c’est celle de la femme dénudée, poitrine à l’air que je découvrirais. Sans vraiment quitter du regard ce qui se passe sur le lit, je ne peux m’empêcher d’en découvrir l’opulence et la plasticité parfaite. Sur le lit, les deux femmes sont face à face, les jambes enchevêtrées afin que leur intimité puisse se toucher. Elles se tiennent par la main, et tirant sur les bras se servent de cette tension pour se frotter au mieux. Les bassins ondulent. Nul doute que les chattes font "minette" en faisant connaissance. Mais à côté aussi cela bouge. La femme s’est déplacée pour pouvoir s’occuper de son amant. En deux temps trois mouvements, polo, pantalon et slip ne sont plus que des dépouilles. La verge est droite. C’est une tige que ma femme – enfin, je veux dire ViolaFleur – connaît bien, une de ...
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