1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°773)


    Datte: 26/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°760) - Un bordel suisse (1/2) – Je crois que le temps s’est arrêté. Voilà maintenant plus d’une demi-heure que moi et ce jeune esclave blond nous nous roulons des pelles sous le regard attentif de Karl. Son sarcasme est sans limite, sans cesse Il nous humilie, nous ridiculise, ses railleries nous rabaissent toujours un peu plus. - Deux chiennes, vous n’êtes rien d’autres que deux grosses salopes insatiables, que deux putes affamées de sexe. Impossible de contredire celui qui nous accable, furieusement nos langues s’enroulent, nous bavons, gémissons de plaisir. Je bande terriblement, ma queue se frotte contre celle de mon compagnon d’infortune. Lui aussi est raide. Nous sommes tous deux pris d’une furieuse excitation, impossible même de nous contrôler. Paradoxalement, avec nos verges dressées au zénith, nous ressemblons à deux étalons près à pratiquer une saillie... - Votre plaisir a assez duré les chiennes, prosternez-vous à mes pieds et remerciez-moi de vous avoir laissé vous baiser ! En levrette, nous nous plaçons et j’entends soudainement l’esclave blond déclamer : - Daignez accepter toute ma gratitude Vénéré Maître, je vous remercie humblement pour tout ce que vous faites pour moi. Je reçois une claque sur mon cul tendu, Karl m’en assène une seconde : - Et toi la chienne, qu’attends-tu pour me remercier ! Je balbutie, tente de redire cette maudite phrase que je n’ai retenu que partiellement. ...
    ... Les coups tombent à chaque erreur de ma part, jusqu’à ce que je parvienne enfin à la prononcer impeccablement. - Tu vois quand tu veux salope… Un autre ordre tombe, sec, avec autorité - Debout ! Nous sommes conduits dans une salle de bain pour une douche, mais pas n’importe quelle douche, au jet avec un tuyau d’arrosage. L’eau est froide sinon glaciale, la pression du jet nous cingle la peau. Nos parties intimes sont largement visées et nous fait débander grandement. Nous ne pouvons contenir nos plaintes, nous tentons d’esquiver ces projections claquant sur nos couilles. Nos nouilles se sont subitement ratatinées. - Mains sur la tête les chiennes, cuisses écartées, interdiction de bouger. Je résiste tant bien que mal, mieux que mon congénère qui lui relève l’une de ses jambes pour protéger ses burnes. Karl exige, ordonne, menace : - Tu veux que je te dérouille ! lance-t-il. Le jeune esclave se ressaisit et s’offre, par peur de représailles bien pénibles, un bien dur traitement que lui impose son Maître insistant. - La nature t’a pourvu d’une paire de couilles, alors que tu ne le mérites pas. Tes burnes pendantes entres tes cuisses te sont parfaitement inutiles, tu le sais bien salope… Dois-je te rappeler qu’elles ne sont là que pour être maltraitées ? Malgré ce jet puissant éclaboussant son bas ventre, le jeune esclave se remet à bander terriblement, ces mots humiliants, comme s’ils étaient vérité, l’ont de nouveau excité cruellement… La douche se termine, nous nous séchons ...
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