1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°773)


    Datte: 26/08/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... rapidement et dès lors que nous avons replacés nos colliers autour du cou, tous deux, sommes entrainés, enchainés, debout, d’un pas rapide, dans un long couloir. Nous descendons quelques marches en ciment brut, et nous nous retrouvons dans un simple garage. Ludo est là, devant le coffre ouvert d’une voiture. - Allez les chiennes, dans le coffre. Nous vous emmenons au boulot ! La voiture recule doucement puis démarre en trombe. Secoués dans ce coffre, nous nous cramponnons tant bien que mal pendant tout le long trajet, un très long voyage sur des routes sinueuses. Enfin, le véhicule s’arrête, le moteur se coupe, on nous laisse cogiter dans ce coffre encore un long moment. Parfois la main du jeune esclave me caresse les fesses, je sursaute à chaque fois ne sachant pas si je dois me laisser faire et lorsque celui-ci me pose de délicats petits baisers sur la nuque, je me mets à bander tel un cerf en rut. Une furieuse envie de me faire prendre m’envahit subitement. Le contact de cette queue raide et brulante sur mon fessier exacerbe mes désirs. Bien difficile pour moi de me raisonner, je me sens chienne, prêt à subir l’assaut, prêt à prendre cette bite en moi, prêt à la recevoir et la choyer dans ma cavité sombre et humide, prêt à prendre le risque d’être sévèrement puni pour avoir enfreint les règles élémentaires de ma totale soumission. Dieu merci, juste avant de passer à l’acte, je reconnais la voix s’approchant de Karl dialoguant avec une inconnue. Le coffre du véhicule ...
    ... s’ouvre. - Voilà la marchandise, 2 belles putains ! Lance Karl Aveuglé par la luminosité, je distingue mal celle qui se saisit de mes couilles. Je suis extirpé du véhicule ainsi. Karl lui fait sortir son esclave du coffre en l’attrapant par son collier. Nous voilà en pleine nature, dans un alpage suisse, avec devant nous un immense chalet de montagne. La main tenant mes burnes se desserre, sitôt après je reçois une injonction : - Retourne-toi, penche-toi en avant, écarte tes fesses et montre-moi ton trou du cul, la salope ! Cette femme semble pour le moins déterminée. Sa voix autoritaire ne laisse place à aucune possibilité de désobéissance. J’exécute et à peine suis-je installé, qu’un doigt, puis deux me pénètre brutalement. - Trou déjà bien dilaté, très souple, avec une bonne humidité ambiante ! constate la Dominante. Ces doigts au fond de mon cul me fouillant allègrement et ces mots me font triquer à mort. C’est une immense sensation excitante de bonheur que de se sentir une simple marchandise, un simple objet, cela me procure une érection hors norme ! - Belle marchandise, je prends…, dicte toujours sévèrement la Domina C’est au tour du jeune esclave appartenant à Karl, de subir l’affront, une fouille intime en règle, en pleine nature, telle que celle que je viens de subir. Son cul a lui aussi retenu l’attention de cette Dominante. Lui aussi bande comme un taureau. A-t-il les mêmes ressentis que moi ? Ne serions-nous rien d’autre que deux trous sur pattes ! Notre physique, notre ...